Le jour Jonathan Roy a choisi de la musique aux dépens du hockey
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Un jour, Jonathan Roy a pris son courage à deux mains. Il est allé s'asseoir dans le bureau entraîneur-chef des Remparts Québec, qui est aussi son père et membre du Temple renommée du hockey, pour lui dire que rêve n'était pas devenir gardien but dans la LNH, mais faire musique. Il était nerveux et c'est compréhensible. Lorsque vous portez vous-même les jambières sur l'équipe junior la plus suivie au Canada, pensez à dire à Patrick Roy que son fils ne suivra pas ses pas glorieux, cela s'accompagne certainement de quelques nuits blanches. « J'étais un peu gêné, raconte au Journal Jonathan Roy, près de 15 ans plus tard. Je ne voulais pas que mon père soit déçu que je ne joue pas au hockey. » De plus, ce n'est pas comme s'il se sentait obligé par tradition familiale de jouer au hockey. C'était son choix. Il l'aimait. « Quand j'avais 13 ans, ma mère a vu que j'aimais la musique et elle m'a acheté un petit piano avec une guitare et une batterie. J'avais commencé à prendre des cours. Finalement, le hockey prenait beaucoup de place et j'aimais beaucoup ça. J'étais passionné de hockey. Mon père était mon idole. Ce que j'ai ressenti quand je suis allé dans l'arène pour regarder ses matchs était indescriptible. Je voulais vivre ce qu'il traversait. "T'es malade mec..." Néanmoins, à fin de saison 2008-2009 des Remparts, Jonathan Roy a pris décision plus importante de sa vie et il a dû en parler à son père. Il craignait sa réaction. À tort. Il m'a regardé et m'a dit: "Tu es malade, mec, tu retournes à l'école." Autant sa première réaction a été de trouver ça fou que j'entre là-dedans, autant vers la fin de la discussion, il a dit : je te laisse partir, tant que tu es content, gamin, c'est ça qui est important. Avec le recul, Jonathan Roy se rend compte que c'était enfin s'avouer qu'il voulait tenter sa chance dans la musique qui était "la plus stressante". vise haut La transition de Jonathan Roy vers l'industrie de la musique a évidemment défrayé la chronique, d'autant qu'il a rapidement fait sa marque dans les grandes ligues du show-business en réalisant quelques bons coups. Après avoir sorti trois albums dans les deux langues officielles entre 2009 et 2011, dont l'un contenait un duo avec la chanteuse Natasha St-Pier, il décroche l'un des rôles principaux dans le spectacle musical Don Juan, aux côtés de Jean-François Breau et Marie- Ève Janvier. Par l'intermédiaire de son père, Jonathan Roy rencontre ensuite Corey Hart, qui le prend sous son aile. Le jeune homme rejoint le label de la star des années 1980, Siena Records, filiale de Warner Music. C'est Corey Hart qui a pondu Daniella Danemark, son grand succès radio, en 2017. Jonathan Roy était en route vers la gloire et visait haut. Trop haut, dit-il aujourd'hui. Une fois de plus, il se laisse happer par son désir d'égaler la performance inégalée de son pè
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