Chronique d'Alain Sanscartier: misère de misère!

  • l’année dernière
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COLLABORATION SPÉCIALE La fierté peut représenter un défaut pour certains, mais pour beaucoup d'autres, elle représente plutôt une qualité, notamment lorsqu'il s'agit de fierté et du sentiment qui pousse les athlètes professionnels à se surpasser. Lorsque des situations difficiles surviennent, certains ont tendance à retrousser leurs manches comme des battants, tandis que d'autres croulent sous la pression du moment. Sans trop revenir sur ma précédente chronique la semaine dernière sur ce problème récurrent manque production offensive en situation 5 contre 5 avec les Sénateurs d'Ottawa , il faut dire que malheureusement le situation ne semble pas être remplacée dans l'environnement l'édition actuelle. La semaine dernière a été très difficile, tant au niveau du manque de résultats qu'au niveau des performances sportives. On voit plus en plus signes frustration au sein l'équipe. Les Sens ont une fiche de 2-6-0 à leurs 8 dernières sorties, avec seulement 17 buts marqués contre 36 buts encaissés. Au cours de la semaine dernière, qui a été occupée par quatre matchs en six nuits, D.J. Les hommes de Smith ont gagné 5-4 en prolongation contre les Penguins de Pittsburgh mais ont subi trois défaites au cours desquelles ils n'ont marqué qu'un seul but par match. C'est clairement trop peu dans cette nouvelle Ligue nationale, qui en faut aujourd'hui trois et plus pour espérer la victoire. Alors est-ce un problème système ? Un manque de rigueur dans l'engagement collectif ? Un certain manque de force physique au sein des deux premières unités offensives dans des combats en espace restreint ? Ou est-ce cette absence sacrifices dans les points de mise au jeu, pour créer plus d'occasions qualité ? Quel est le plus gros problème à Ottawa? Certes, la réalité est difficile à accepter aujourd'hui pour Ottawa, qui est à dix points d'une place en séries éliminatoires. Plus important encore, Sens sont dépassés par cinq autres équipes qui partagent les mêmes ambitions de se classer parmi deux équipes repêchées laissant place à la danse printanière. Sans jeter l'éponge, encore faudra-t-il se rendre compte que la troupe Smith, qui avait l'ambition de reproduire les récents succès décembre dernier , n'a pas réussi sa mission. Ce mois de janvier , où il reste encore quatre matchs au compteur, et avant pause du All-Star Game, a jusqu'ici été très laborieux pour la formation de capitale nationale. L'espoir pour les séries éliminatoires a presque complètement disparu au cours des deux dernières semaines. Dans un environnement où le mot responsabilisation prend tout son sens, tant en tant que joueur qu'en équipe, l'édition actuelle montre des signes de déjà-vu, ce qui est très décevant après plusieurs saisons en pleine phase de reconstruction. Oui, certains jeunes prendront probablement un peu plus de force physique au

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