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Parti Québécois , Paul St-Pierre Plamondon, a accepté les excuses de Sandro Grande, qui a été très brièvement embauchée par le CF Montréal avant d'être licencié en raison de ses remarques controversées sur le mouvement souverain. «Dans la mesure où [l'ancien Premier ministre Pauline] Marois ne souhaite pas voir Monsieur ostracisser ou« Cancellé », je me sens l'aise, en tant que chef notre formation politique et notre mouvement, ses excuses et permettre ainsi à M. Grande tourner la page», A expliqué le chef PQ sur sa page Facebook dimanche, après une heure tête-à-être avec M. dans les locaux PQ Montréal." J'ai trouvé Sandro Grande un homme sincère dans ses excuses et j'ai puDiscutez de la situation avec sa famille, qui a évidemment connu une situation très difficile ces dernières semaines ", ajoute-t-il. Le CF Montréal annoncé, le 9 janvier, l'embauche Sandro Grande tant qu'entraîneur-chef son équipe réserve, une décision qui avait rapidement suscité un tumulte raison ses remarques passées.mr.Grande notamment écrit sur les réseaux sociaux qu'il regrettait que l'auteur l'attaque Metropolis 2012 n'ait pas tué Mme Marois lors son élection tant que Premier ministre. Il a ensuite publié.L'équipe de Montréal avait retombé sur son embauche le lendemain. La principale partie intéressée s'est excusée lors d'une conférence de presse jeudi, admettant en passant pour la première fois après avoir écrit le tweet. Paul St-Pierre Plamondon, qui avait lancé le bal des critiques à suite l'embauche Sandre Grande, a déclaré qu'il avait exprimé ses préoccupations dans la sécurité des politiciens, plus en plus victimes menaces dans ligne menace. "Nous avons également convenu qu'une fois que poussière a chuté, nous ferons des activités conjointes sur les thèmes prévention haine et promotion dialogue démocratique respectueux et humain", a assuré le chef du PQ, assurant qu'il souhaite que l'entraîneur "rétablit" rétablit "La société dans un rôle dans lequel il excelle, celle l'enseignement football aux jeunes ". Dans une interview à LCN dimanche après-midi, Paul St-Pierre Plamondon a ajouté qu'il y avait "un désir général de tourner la page". «Nous avons convenu en tant qu'entreprise que les séparatistes, comme tout autre mouvement politique, avaient le droit de la sécurité. Je ne vous cacherai pas je veux que M. Grande soit réintégré dans notre société.Gagnant sa vie, qu'est-ce cela nous mène au fond? Si les excuses sont sincères, il y a le pardon ", a-t-il déclaré. "Mme Marois a fait face à tant d'adversités. Oui, nous pouvons parler prévention de la haine en ligne, mais pour parler démocratie aussi, avec tous les Québécois", a déclaré le chef du Parti Québécois. «Nous choisissons toujours en tant qu'entreprise où nous ne voulons pas y aller. Nous ne voulons pas au Québec comme nous le voyons aux