"J'avais beaucoup plus la laveuse en Floride ..." -Huberdeau
  • l’année dernière
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Jonathan Huberdeau a vu son premier véritable hiver dans la Ligue nationale de hockey. Le froid glacial l'Alberta est tout un contraste avec le climat tropical de la Floride, où il est joué les 10 premières saisons sa carrière. Pour ajouter à l'ironie, ses statistiques sont des années-lumière par rapport à l'année dernière, alors qu'il était le quatrième meilleur pointeur de la ligue, tout en terminant au premier rang pour obtenir de l'aide. Le Jeromian ne le cache pas. Il s'adapte toujours à son nouvel environnement, celui qui est passé des flammes aux flammes pendant l'été. Il a néanmoins récolté 31 points en 43 matchs. "Comme vous pouvez le voir, c'est difficile", a admis Huberdeau avec une certaine auto-moquerie sur l'émission de Jean-Charles Lajoie jeudi sur Tva Sports.Nous n'avaient pas l'habitude de froid et il semble. "C'est un apprentissage. Il est certain que ce n'est pas le début de la saison que j'espérais avec les flammes. L'équipe est proche et c'est la chose importante." Un entraîneur-chef exigeant Sous Darryl Sutter, la philosophie est différente. Son entraîneur lui demande de se lancer plus souvent, d'ailleurs. Il doit donc s'adapter à la formule avec de nouveaux compagnons de trio. "J'avais beaucoup plus la laveuse en Floride qu'à Calgary. Il est difficile de lancer quand vous êtes moins chanceux, a-t-il dit.mieux défensivement. "Je travaille dur, j'espère que ça viendra bientôt." En outre, un autre Québecr dans le camp des Flames attend avec impatience sa chance. Recapé par l'organisation ces dernières semaines, Jakob Pelletier n'a toujours pas disputé son premier match de la LNH. "Il ne peut pas attendre. Nous savons qu'avec Darryl, vous n'avez pas beaucoup d'opportunités quand vous êtes jeune. J'étais avec lui tout au long du voyage et je lui ai dit. Je lui ai dit de continuer à travailler dur en formationEt il aura bientôt de la chance. Regardez l'interview avec Jonathan Huberdeau dans la vidéo ci-dessus.
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