La Première ministre néo zélandaise Jacinda Ardern démissionne de son poste
- l’année dernière
La Première ministre néo zélandaise Jacinda Ardern démissionne de son poste.
Après 5 ans de mandat, à la surprise générale, la cheffe du gouvernement néo zélandais Jacinda Ardern a décidé de formuler sa démission.
Elle quittera ses fonctions le 7 février et ne participera donc pas aux élections législatives qui se tiendront dans 9 mois.
Je n’ai tout simplement plus assez d’énergie, Jacinda Ardern.
Je suis humaine. Nous donnons autant que nous le pouvons et aussi longtemps que nous le pouvons, et puis c’est le moment. Et pour moi, ce moment est arrivé, Jacinda Ardern.
Malgré une bonne popularité dans le sondages et des politiques menées à bien depuis plusieurs années, Jacinda Ardern a jugé juste de laisser sa place à une personne plus déterminée.
Ces cinq années et demie ont été les plus épanouissantes de ma vie. Mais il y a aussi eu des défis à relever, Jacinda Ardern.
Je sais ce que ce travail exige, et je sais que je n’ai plus assez d’énergie pour lui rendre justice. C’est aussi simple que cela, Jacinda Ardern.
A 37 ans, Jacinda Ardern était devenue la plus jeune Première ministre de l'histoire du pays depuis 1856 et la première femme à prendre la tête du gouvernement.
Durant son mandat, elle a été confrontée à la pandémie de Covid-19 et à une éruption volcanique meurtrière.
Elle a également du faire face au pire attentat jamais perpétré dans le pays, le meurtre de 51 fidèles musulmans dans une mosquée de Christchurch par un suprémaciste blanc en 2019.
Elle a finalement été saluée pour ses actions politiques décisives, notamment les restrictions sur les armes à feu, et pour ses efforts visant à obliger les géants des réseaux sociaux à lutter contre les discours de haine en ligne.
En septembre 2018, Jacinda Ardern devenait la seconde cheffe de gouvernement a accouché durant son mandat après la Pakistanaise, Benazir Bhutto.
En septembre 2018, elle s'était rendu à la tribune des Nations Unies accompagnée de sa fille alors âgée
de 3 mois, Neve.
J’ai envie de normaliser ça. En étant plus ouverte, cela pourrait créer un chemin pour d’autres femmes, Jacinda Ardern
Après 5 ans de mandat, à la surprise générale, la cheffe du gouvernement néo zélandais Jacinda Ardern a décidé de formuler sa démission.
Elle quittera ses fonctions le 7 février et ne participera donc pas aux élections législatives qui se tiendront dans 9 mois.
Je n’ai tout simplement plus assez d’énergie, Jacinda Ardern.
Je suis humaine. Nous donnons autant que nous le pouvons et aussi longtemps que nous le pouvons, et puis c’est le moment. Et pour moi, ce moment est arrivé, Jacinda Ardern.
Malgré une bonne popularité dans le sondages et des politiques menées à bien depuis plusieurs années, Jacinda Ardern a jugé juste de laisser sa place à une personne plus déterminée.
Ces cinq années et demie ont été les plus épanouissantes de ma vie. Mais il y a aussi eu des défis à relever, Jacinda Ardern.
Je sais ce que ce travail exige, et je sais que je n’ai plus assez d’énergie pour lui rendre justice. C’est aussi simple que cela, Jacinda Ardern.
A 37 ans, Jacinda Ardern était devenue la plus jeune Première ministre de l'histoire du pays depuis 1856 et la première femme à prendre la tête du gouvernement.
Durant son mandat, elle a été confrontée à la pandémie de Covid-19 et à une éruption volcanique meurtrière.
Elle a également du faire face au pire attentat jamais perpétré dans le pays, le meurtre de 51 fidèles musulmans dans une mosquée de Christchurch par un suprémaciste blanc en 2019.
Elle a finalement été saluée pour ses actions politiques décisives, notamment les restrictions sur les armes à feu, et pour ses efforts visant à obliger les géants des réseaux sociaux à lutter contre les discours de haine en ligne.
En septembre 2018, Jacinda Ardern devenait la seconde cheffe de gouvernement a accouché durant son mandat après la Pakistanaise, Benazir Bhutto.
En septembre 2018, elle s'était rendu à la tribune des Nations Unies accompagnée de sa fille alors âgée
de 3 mois, Neve.
J’ai envie de normaliser ça. En étant plus ouverte, cela pourrait créer un chemin pour d’autres femmes, Jacinda Ardern