Montpellier-Nantes: enquête ouverte pour les bannières homophobes au Mosson
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#MontpellierNantes #enquêteouverte #bannièreshomophobes
https://gotopnews.com/post/1402852
Les bannières homophobes déployées par Montpellier Ultras dimanche au Mosson lors du match Ligue 1 entre MHSC et FC Nantes feront l'objet d'une enquête sur le plan judiciaire. Une enquête a été ouverte lundi par le bureau procureur Montpellier à la suite banques homophobes branchées par des ultras club Héraulouvert pour "les insultes publiques au rythme d'orientation sexuelle", "Introduction, détention et utilisation fusées ou feux d'artifice dans une enceinte sportive" et "un jet projectile présentant un danger pour la sécurité gens", a déclaré le bureau procureur Montpellier au milieujour dans un communiqué. Dans la matinée, le ministre des Sports avait exprimé sur Twitter sa condamnation "la plus ferme images, ces mots, actes homophobes qui doivent disparaître des orateurs de football et sport". "Leurs auteurs doivent être identifiés, sanctionnés et conservés en permanenceLoin des scènes, "a ajouté Amélie Oudéa-Castera, reproduisant des photos prises au stade Mosson au début du 19e jour de L1 entre le MHSCAND FC Nantes. Les bannières incriminées ont été déployées par les ultras du Hérault Club, qui avait l'intention protester contre les résultats catastrophiques de leur équipe, battu 6-1 quatre jours plus tôt dans la zone relégation Nice et proche.L'équipe "et" Allez tout à vous ... ". Après cette action, le Montpellier a ultra déserté sa galerie pendant les 15 premières minutes du match, avant revenir et de jeter des es fumée sur la pelouse, provoquant une interruption du jeu. Toutes les nouvelles de la Ligue 1 en direct Sur le menu LFP mercredi Tous ces incidents seront étudiés lors de la prochaine réunion du comité de discipline du LFP, prévue mercredi. Dans un communiqué de presse, le Montpellier Club, présidé par Laurent Nicollin, a condamné "avec la plus grande fermeté les remarques homophobes faites sur certains bannières". "Ce type de but ne peut être toléré "malgré le" contexte sportif compliqué ", a-t-il ajouté. Le MHSC a déclaré qu'il avait l'intention de demander les fonctionnaires lui-même:" Des enquêtes sont en cours et que des plaintes seront déposées si nécessaire ". Au niveau local, les bannières ont également été dénoncées sur Twitter par Hervé Martin, assistant au maire du maire du Montpellier Michaël Delafosse, qui a dit qu'il était "scandalisé" par ces "insultes vulgaires et homophobes".sera pris ", a-t-il ajouté. Montpellier, qui a perdu 3-0 contre Nantes, occupe la 15e place à la Ligue 1 avec deux points d'avance sur Brest, première relégation.
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Les bannières homophobes déployées par Montpellier Ultras dimanche au Mosson lors du match Ligue 1 entre MHSC et FC Nantes feront l'objet d'une enquête sur le plan judiciaire. Une enquête a été ouverte lundi par le bureau procureur Montpellier à la suite banques homophobes branchées par des ultras club Héraulouvert pour "les insultes publiques au rythme d'orientation sexuelle", "Introduction, détention et utilisation fusées ou feux d'artifice dans une enceinte sportive" et "un jet projectile présentant un danger pour la sécurité gens", a déclaré le bureau procureur Montpellier au milieujour dans un communiqué. Dans la matinée, le ministre des Sports avait exprimé sur Twitter sa condamnation "la plus ferme images, ces mots, actes homophobes qui doivent disparaître des orateurs de football et sport". "Leurs auteurs doivent être identifiés, sanctionnés et conservés en permanenceLoin des scènes, "a ajouté Amélie Oudéa-Castera, reproduisant des photos prises au stade Mosson au début du 19e jour de L1 entre le MHSCAND FC Nantes. Les bannières incriminées ont été déployées par les ultras du Hérault Club, qui avait l'intention protester contre les résultats catastrophiques de leur équipe, battu 6-1 quatre jours plus tôt dans la zone relégation Nice et proche.L'équipe "et" Allez tout à vous ... ". Après cette action, le Montpellier a ultra déserté sa galerie pendant les 15 premières minutes du match, avant revenir et de jeter des es fumée sur la pelouse, provoquant une interruption du jeu. Toutes les nouvelles de la Ligue 1 en direct Sur le menu LFP mercredi Tous ces incidents seront étudiés lors de la prochaine réunion du comité de discipline du LFP, prévue mercredi. Dans un communiqué de presse, le Montpellier Club, présidé par Laurent Nicollin, a condamné "avec la plus grande fermeté les remarques homophobes faites sur certains bannières". "Ce type de but ne peut être toléré "malgré le" contexte sportif compliqué ", a-t-il ajouté. Le MHSC a déclaré qu'il avait l'intention de demander les fonctionnaires lui-même:" Des enquêtes sont en cours et que des plaintes seront déposées si nécessaire ". Au niveau local, les bannières ont également été dénoncées sur Twitter par Hervé Martin, assistant au maire du maire du Montpellier Michaël Delafosse, qui a dit qu'il était "scandalisé" par ces "insultes vulgaires et homophobes".sera pris ", a-t-il ajouté. Montpellier, qui a perdu 3-0 contre Nantes, occupe la 15e place à la Ligue 1 avec deux points d'avance sur Brest, première relégation.