Le procès des attaques de Bruxelles paralysé par manque d'accusé: le président du tribunal demande à
  • l’année dernière
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Après avoir été suspendu ce mercredi matin, procès des attaques Bruxelles le 22 mars 2016 a repris ce mercredi après-midi avec l'audience Marc Mesmaeker, commissaire général la police fédérale. C'était le président la Cour d'assise qui a demandé à entendreElle dans l'espoir débloquer le problème l'excavation l'accusé détenu avant leur transfert au tribunal. Plus tôt dans journée, l'audience avait été perturbée par l'absence de sept accusés, les sept qui sont détenus et doivent, chaque jour, être transférés de la prison à salle d'audience. Ce mercredi matin, le 4 janvier, les sept accusés détenus ont refusé d'aller devant le tribunal. C'est toujours la question des fouilles avant d'aller à l'audience qui continue d'être un problème. Cinq accusés, Mohamed Abrini, Osama Krayem, Sofien Ayari, Bilal El Makhoukhi et Hervé Bayingana Muhirwa ont refusé de sortir de leur cellule. Deux autres accusés, Salah Abdeslam et Ali el Haddad Asufi, sont sortis de leur cellule pour se rendre dans la salle d'excavation. Selon les informations collectées par RTBF, leur haut du corps a été déshabillé pour une première partie de l'excavation avant de les habiller. Quand c'étaitUne question de déshabillage du fond pour poursuivre l'excavation, les deux accusés, à leur tour, ont refusé d'aller en justice. Seuls les accusés qui semblent libres, Smaïl et Ibrahim Farisi, étaient présents au début de l'audience. Le président avait suspendu l'audience en attendant d'entendre les explications du commissaire fédéral de police sur la systématique ou non de ces fouilles et sur le fait qu'elle est motivée individuellement.Une procédure sommaire interdisant l'attrait systématique aux fouilles corporelles quotidiennes. Ces fouilles doivent également être motivées individuellement.
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