#Vielocale #Santé #Mon #pronosticvital
https://gotopnews.com/post/1374330
Les rapports sexuels non protégés ont presque coûté la vie à Stacy. Le directeur? Le papillomavirus, une famille de virus provoquant des infections sexuellement transmissibles et, dans les cas les plus graves, des cancers. Environ 6 400 cas cancers liés au VPH sont diagnostiqués chaque année en France, principalement du col l'utérus , l'anus et l'oropharynx , en France. 'après l'Institut national du cancer. À 28 ans, Stacy est en rémission de deux cancers du col de l'utérus et du côlon, causés par le VPH. « Je suis un cas rare », confie en souriant la Théoulienne. Ablation de l'utérus et curiethérapie Tout a commencé en mai 2020, cinq mois après l'accouchement de son premier enfant. Inquiète de continuer à saigner, elle prend rendez-vous chez un gynécologue, qui lui fait un frottis pour la première fois, cet examen étant recommandé dès l'âge de 25 ans. « C'est là que j'ai appris que j'avais le papillomavirus, se souvient Stacy. , tout se passe relativement bien. Ce n'est pas très grave, ça se soigne. Son optimisme s'éteint quand on lui apprend, après des tests poussés, qu'elle a un cancer causé par ce virus et qu'elle ne pourra pas garder son utérus. "J'ai demandé au chirurgien en larmes si je pouvais d'abord avoir un deuxième enfant, il m'a répondu 'tu peux mais ce bébé n'aura plus de mère'." Pour éviter la ménopause, et donc un vieillissement prématuré, Stacy se fait greffer ses ovaires sous ses côtes. "J'ai pu maintenir mon cycle menstruel mais je n'ai plus de pertes." Parallèlement, elle débute une curiethérapie, pour irradier la tumeur directement et à fortes doses. "Vous gardez une boîte à l'intérieur du vagin donc c'est très douloureux mais très efficace. Ça n'a pas été facile à vivre, beaucoup d'humiliation car ce n'est pas une zone très agréable à montrer tout le temps aux médecins." Tumeur de neuf centimètres au côlon En décembre 2020, l'état de Théoulienne s'est détérioré. Elle perd 12 kilos et ses selles deviennent sanglantes. Son oncologue puis un gastro-entérologue l'assurent que c'est probablement un effet de la curiethérapie et qu'il n'y a pas lieu de s'inquiéter. "Personne ne m'a cru alors j'ai fait mes bagages et je suis allé à la clinique où j'avais déjà été opéré." Enfin soutenue, Stacy passe plusieurs examens. "Mon chirurgien, celui qui a opéré mon premier cancer, entre dans ma chambre en me disant que c'est peut-être difficile à croire mais j'ai un cancer du côlon et la tumeur mesure neuf centimètres." « Sur le coup, je n'ai pas de mots. Je n'ai rien qui me vient à part le choc de me dire que, neuf mois plus tard, j'ai toujours un cancer quand je suis jeune, jeune maman en plus. Le monde s'est un peu effondré mais J'ai décidé de garder la tête haute." La biopsie révèle que la tumeur provient du papillomavirus, faisant de Stacy un "cas rare". "J'ai fa