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Il commence enfin à voir la lumière à la fin du tunnel.Republican Kevin McCarthy a réussi à convaincre certains Trumpistes de soutenir sa candidature au "Président" du Congrès américain, pas suffisant, cependant, à libérer la route à la perchoir. Le Capitole, attaqué il y a exactement deux ans par les partisans de Donald Trump, est plongé dans un autre type de chaos, paralysé par la fronde des élus très conservateurs. Favorite pour remplacer Nancy Pelosi à la présidence de la Chambre des représentants, Kevin McCarthy a pour la première fois fait des progrès importants dans sa candidature le quatrième jour des négociations non publiées. "Nous allons vous surprendre", a-t-il promis en entrant dans la conférence vendredi matin, face à une foule de journalistes lui demandant la viabilité de sa candidature. Mais les années 50, membre du personnel républicain depuis plus de 10 ans, ont dû faire entrer une poignée d'élus dans la rangée, dont certains se sont entrepris pour le soutenir. Ce noyau dur des élus Trumpist bénéficient de la très belle majorité républicaine a gagné aux élections à mi-parcours en novembre pour fixer leurs conditions. "Quelques progrès" La paralysie du Congrès américain a des répercussions très concrètes: sans «président», les élus ne peuvent pas prêter serment ou donc voter un projet de loi. Écoutez la chronique internationale de Luc Laliberté via la radio Qub: Kevin McCarthy n'a cependant pas un concurrent crédible. L'agacement était palpable parmi les membres du "Grand Old Party", qui soutiennent largement la candidature de Kevin McCarthy, donnant naissance à des débats très animés.Les responsables à la tête de la fronde. Le parti de Joe Biden peut montrer l'unité autour de son chef Hakeem Jeffries, le camp ne fait pasavoir suffisamment de votes pour mettre fin à cette paralysie.