Joe Biden attaque la crise des migrations avant une visite à la frontière sud des États-Unis
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Le président des États-Unis, Joe Biden, avec le vice-président, Kamala Harris, lors d'un discours à la Maison Blanche, le 5 janvier 2023. Jim Watson / AFP Le président américain, Joe Biden, s'est abordé le jeudi 5 janvier à un point faible de son bilan: la crise des migrations à la frontière sud des États-Unis, où il ira pour la première fois dimanche. Plus de 230 000 arrestations ont toujours été enregistréeslà en novembre. "Ne venez pas à la frontière" sans avoir précédemment lancé une procédure juridique, a notamment déclaré le président américain dans un discours de la Maison Blanche. Il a promis de réparer un système d'immigration "cassé", tout en reconnaissant que ce problème "difficile" ne serait pas résolu"pendant la nuit". Le président démocrate est critiqué sur le sujet autant par la droite, qui l'accuse régulièrement de laxisme, comme par les associations de droits de l'homme, qui l'accusent d'attaque d'asile. "Nous pouvons garantir notre politique d'immigration des frontières et réparer afin qu'elle soit ordonnée, sûre et humaine; nous pouvons faire tout cela sans éteindre la flamme de la liberté qui a amené des générations d'immigrants en Amérique", a-t-il déclaré. 30 000 titres de séjour supplémentaires par mois Mais son administration a néanmoins annoncé des «nouvelles conséquences» pour les migrants qui traverseront illégalement la frontière: les États-Unis utiliseront plus souvent des expulsions immédiates, accompagnées d'une nouvelle entrée dans le territoire de cinq ans. Le pays restreindra également l'accès au droit d'asile en établissant une règle selon laquelle les personnes qui n'ont pas fait une demande en bonne et due aux États-Unis, ou dans un autre pays croisé, seront exclues de leur exception. Le président américain a également annoncé la création de 30 000 séjours supplémentaires par mois pour les migrants de Cuba, d'Haïti, du Nicaragua et du Venezuela, les principaux pays d'origine des immigrants illégaux. Mais les ressortissants de ces pays pourront, s'ils n'emprunteront pas ce chemin juridique, être réprimé dès qu'ils essaieront de traverser illégalement la frontière.Conditions de sécurité, le Mexique s'engage à accepter 30 000 par mois. Mexique satisfait Le Mexique a appris avec «plaisir» l'annonce de «nouvelles actions des États-Unis visant à accroître les mesures de mobilité concernant les travailleurs», a tweeté Roberto Velasco, un responsable du ministère mexicain des Affaires étrangères. Il a ajouté que ce programme était une demande de longue date du gouvernement mexicain "pour obtenir l'immigration ordonnée, sûre, régulière et humaine dans la région". En conséquence, cela réduira les risques pour les migrants qui cherchent à traverser la frontière irrégulièrement. "C'est sûr, humain, et cela fonctionne", a déclaré M. B
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