Messagerie piratée, menaces d'attaques Internet: ce que nous savons des évacuations d'une vingtaine
  • l’année dernière
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Plusieurs écoles à travers la France ont reçu des menaces par mail, ainsi que sur la messagerie réservée aux parents d'élèves. Le ministère de l'Éducation nationale a demandé aux établissements de porter systématiquement plainte. Qui se cache derrière ces menaces envoyées aux quatre coins de la France ? Une vingtaine d'écoles ont reçu des menaces d'attaques par mail, sur leurs espaces numériques de travail , qui ont été piratés. Des menaces également repérées sur Whatsapp des groupes de parents d'élèves. Si le ministère de l'Éducation nationale a demandé aux établissements de porter systématiquement plainte, une enquête a été ouverte par la section cyber du parquet de Paris. franceinfo fait le point sur cette affaire. REPLAY - Cyberattaques : qui veut de nos hôpitaux ? Le débat Franceinfo Talk Une vingtaine d'écoles ciblées Etrange rentrée scolaire pour 2023 : lundi 2 janvier et mardi 3 janvier, jour de la rentrée des élèves, une vingtaine d'écoles en France, notamment dans l'académie de Lille, ont été évacuées suite à des menaces d'attentats terroristes. es ou explosifs largués sur des espaces de travail numériques piratés. Un « ENT », bien connu des parents depuis plusieurs années maintenant, est un portail internet qui sert à mettre en relation parents, enseignants et élèves, et à communiquer et échanger des informations sur la vie des collèges et lycées. Selon le ministère de l'Education nationale, contacté par franceinfo, "une vingtaine d'établissements ont été concernés en France métropolitaine par ces messages porteurs de menaces d'attentat, principalement à Lille, et dans une moindre mesure à Créteil, Grenoble, Versailles , Normandie, Lyon." Et le ministère a précisé qu'outre les ORL, "ces messages ont été repérés par les parents sur WhatsApp, Snapchat". Que disent ces menaces ? Prises très au sérieux, ces menaces ont conduit à lever les doutes des autorités en Seine-et-Marne, en Bretagne, à Rillieux-la-Pape , à ​​Marseille , à ​​Caen ou à La Madeleine. et Carvin , où, par exemple, les démineurs sont intervenus directement. Le parquet de Béthune avait également ouvert mardi une enquête du chef de "menaces de commettre un crime". Aucune trace d'explosif n'a été retrouvée dans le périmètre qui recense un lycée, un collège et une école. Il s'agit d'un message alarmiste d'abord posté sur l'espace de travail numérique concernant une menace d'attaque à la e ou à l'explosif. Celle-ci circule alors parmi les élèves et leurs familles, qui alertent alors les services de police et les académies. Ces messages sont ensuite propagés sur les réseaux sociaux et notamment sur Snapchat par les étudiants. Selon France Bleu, ces menaces annonçant vouloir faire sauter l'établissement ne le visent pas explicitement. Dans ces messages, le nom du collège ou
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