La Colombie-Britannique essaiera la décriminalisation pour ralentir la crise des opioïdes
  • l’année dernière
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Pour lutter contre cette épidémie, la province deviendra le 31 janvier la première juridiction du pays à lancer une expérience de trois ans sur la décriminalisation, permettant ainsi aux toxicomanes de 18 ans et plus pour transporter 2,5 grammes combinés avec desopioïdes. Alors que la crise des opioïdes fait des ravages au Canada, une grande partie de l'attention accordée aux substances toxiques et illicites a déménagé ces dernières années dans les secteurs de la Colombie-Britannique, y compris les régions naturelles, où les gens succombent toujours à leurs problèmes de toxicomanie. Camille Bains La Presse Canada Pour lutter contre cette épidémie, la province deviendra le 31 janvier la première juridiction du pays à lancer une expérience de trois ans sur la décriminalisation, permettant ainsi aux toxicomanes de 18 ans et plus pour transporter 2,5 grammes combinés avec des opioïdes comme l'héroïne et le fentanyl, commeainsi que de la cocaïne, de la méthamphétamine et de la MDMA. Les dernières données du service des coroners de la Colombie-Britannique montrent qu'environ 14 000 personnes sont décédées depuis que la province a déclaré une urgence de santé publique en 2016, la plupart des décès ont eu lieu dans des résidences privées. En 2021, la Fentany illicite a été impliquée dans 87% des décès. Les familles dont les proches ont fait une surdose mortelle réclament de plus en plus la décriminalisation de petites quantités de médicaments à usage personnel afin de réduire la stigmatisation associée à la criminalisation. Ils veulent également que les gens accédent plus facilement aux services de santé, ce qui pourrait, dans certains cas, sauver leur vie. Certains toxicomanes et groupes de défense tels que les mamans arrêtent le groupe de préjudice, la coalition canadienne de politique de drogue et le réseau juridique du VIH sont parmi ceux qui disent qu'un seuil cumulatif de 2,5 grammes de drogues ne suffit pas pour beaucoup d'individus. Ils soutiennent que ceuxqui vivent dans des régions rurales et des communautés éloignées, où les gens achètent souvent de plus grandes quantités de substances lorsqu'ils peuvent accéder au marché illégal. Mike Serr, coprésident de l'Association des gestionnaires de police canadienne, a déclaré que l'organisation visait un seuil maximum d'un gramme de substances illicites dans le cadre du modèle de décriminalisation de la Colombie-Britannique. «Nous ne voulons pas voir les trafiquants de drogue ou le crime organisé profiter des bonnes intentions de décriminalisation. […] Nous voulons voir un système qui ne favorise pas la consommation de drogues illicites, mais qui essaie plutôt d'aider les personnes et les communautés, "il a dit. Former la police M. Serr a souligné qu'il avait aidé à développer une formation qui sera déployée
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