« L'affaire Vasarely, » comme la presse va appeler cette histoire infernale d'héritage démêlée par les tribunaux pendant trois décennies, n'existerait pas sans une famille. Ou plutôt sans la désunification d'une famille, qui a laissé la porte ouverte aux escrocs et profiteurs de tout poil, appelés à accorder les différends, arbitrer les jalousies, face à un capharnaüm d'œuvres d'art. Sans compter les millions promis à celui qui parviendrait en premier à mettre le grappin dessus.