OM-Toulouse : "On ne peut pas se plaindre de notre match !", souligne Igor Tudor
  • l’année dernière
L'OM a déroulé ce soir face à Toulouse au Vélodrome (6-1) pour la reprise de la Ligue 1 après la coupure internationale. Igor Tudor était en conférence de presse après la rencontre.

C’est une belle soirée de reprise. Qu’est-ce qui vous satisfait le plus ?
Tous les buts que nous avons marqués. Je suis content pour tous les joueurs et pour les buteurs. C’est un défenseur qui amène le premier but, un autre défenseur qui marque le troisième. Ce qui m’a plu aussi, c’est de jouer jusqu’au bout du match.

La trêve a-t-elle fait du bien à vos joueurs ?
La façon dont on joue demande beaucoup d’énergie, il faut toujours être bien physiquement. Le match de ce soir nous a permis de nous améliorer de ce point de vue là, après seulement deux matches amicaux en préparation. Mais on peut toutefois progresser dans le pressing offensif.

Pourquoi avez-vous titularisé Kolasinac en piston gauche ?
Il faudrait qu’il joue toujours comme cela ! En réalité, Nuno (Tavares) devait jouer dès le coup d’envoi, mais il avait des maux de ventre. Sead est un joueur qui s’applique, travaille dur, et je suis très content pour lui.

Vous faites aussi une bonne opération en repassant troisième de la Ligue 1…
Je n’ai pas vu les autres résultats. Mais moins il reste de matches à jouer, plus ils sont importants. On essaie de se concentrer sur nous et nos performances.

Êtes-vous rassuré par le contenu ?
On ne peut pas se plaindre de notre match ! Ce serait bien si on pouvait toujours reprendre de cette manière.

Votre équipe a réalisé un festival alors que plusieurs joueurs offensifs manquaient à l’appel. Attendez-vous aussi plus de dépassements de fonction, comme on l’a vu ce soir avec Gigot, Rongier et Kolasinac ?
Il faut souligner que le trio offensif a très bien joué. Ma façon d’entraîner est que les dix joueurs de champ puissent être dangereux et avoir des occasions de but. Leo et Chancel peuvent aller vers l’avant, Sead le fait bien. Il faut réussir à s’habituer à cela, car il faut aussi compenser…
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