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Désolé, votre navigateur ne supporte pas les vidéos L'Ukraine "occupe ses positions et ne se rendra jamais", a déclaré Volodymyr Zelensky mercredi aux applaudissements du Congrès américain, auquel il a assuré que l'argent payé à l'Ukraine n'était pas "une charité", mais un "investissement". Agence France-Presse Bienvenue par une ovation debout des membres de la Chambre des représentants et du Sénat, le président ukrainien, vêtu de sa tenue kaki traditionnelle, en anglais et avec la plus grande solennité, a déclaré: "Contrairement aux prédictions les plus mortelles, UkrainId Not Fall.ukraineest vivant et combatif. »» "La tyrannie russe n'a plus de contrôle sur nous", a-t-il déclaré, acclamé plusieurs fois lors d'un discours dynamique d'environ vingt minutes, ce qui a conclu son tout premier voyage à l'étranger l'invasion de l'Ukraine le 24 février. Photo Samuel Corum, agence France-Presse Les élus du Congrès américain, écoutez le discours du président ukrainien. Au-delà du lyrisme, le président ukrainien s'est efforcé de convaincre le Congrès, qui passera en partie aux républicains en janvier, de poursuivre son aide massive. "Je voudrais vous remercier, merci beaucoup pour l'aide financière que vous nous avez donnée et celles que vous pourriez décider", a-t-il déclaré. "Pas de charité" "Votre argent n'est pas un organisme de bienfaisance, c'est un investissement dans la sécurité mondiale et la démocratie, que nous gérons de la manière la plus responsable" a lancé Volodymyr Zelensky, dans une réponse aux préoccupations exprimées par certains responsables conservateurs qui veulent plus un "chèque blanc" pourKyiv. Et cela, alors que les parlementaires doivent approuver une nouvelle enveloppe massive de près de 45 milliards de dollars d'assistance humanitaire et militaire pour l'Ukraine. Photo Samuel Corum, agence-président de la France Volodymyr Zelensky à son arrivée au Congrès américain. Il a également lié la lutte contre la Russie à la menace posée par l'Iran, un thème cher au camp républicain qui critique le président démocrate Joe Biden d'être trop complaisant contre Téhéran. "Les drones mortels envoyés par des centaines par l'Iran en Russie sont devenus une menace pour notre infrastructure stratégique. Les terroristes se sont bien trouvés. Et ce n'est qu'une question de temps avant d'attaquer vos autres alliés", a-t-il averti. Sur un ton parfois presque ludique, le président ukrainien a également suggéré qu'il ne libérerait pas la pression pour obtenir plus d'armements et d'équipement plus lourd. Pas assez "Nous avons de l'artillerie, oui", a-t-il dit, ajoutant, "est-ce assez? Honnêtement, pas vraiment". Et il a également lancé que "les soldats ukrainiens peuvent exploiter parfaitement des chars et des avions américains", une allusion à l'équipement que Washington a jusqu'à présent refu