L'Iran dit qu'il peut enrichir l'uranium encore plus
- l’année dernière
#liranquil #peutenrichir #luraniumencore #vite
NUCULTANT: La veille d'une visite à l'AIEA, l'Iran dit qu'il peut enrichir davantage l'uranium En novembre, l'International Atomic Energy Agency a confirmé que l'Iran avait commencé à enrichir l'uranium jusqu'à 60% dans sa centrale nucléaire de Fordo , dépassant de loin le seuil de 3 67% fixé par l'accord de 2015 et l'approche du90% nécessaires pour produire une e atomique. "La production d'énergie nucléaire et d'électricité atomique représente les grandes économies pour le pays et est efficace pour réduire la consommation de combustibles fossiles et non renouvelables, et fournissant des solutions à l'environnementproblèmes." L'AIAA, basée à Vienne, a annoncé mercredi que son équipe technique irait en Iran dimanche, afin de discuter de la présence de matières nucléaires sur trois sites infructueux, un dossier qui nourrit des soupçons d'activités nucléaires secrètes. L'agence a demandéL'Iran pendant des années explique la présence de l'uranium sur ces sites et la possibilité de collecter des échantillons. Le directeur général de l'Organisation de surveillance nucléaire des Nations Unies, Rafael Grossi, ne devrait pas aller en Iran cette fois. Le 9 décembre, Mohammad Eslami a déclaré que des traces d'uranium enrichi trouvées en Iran avaient été introduites dans le pays de l'étranger. Au point de la mort Ce dossier est l'un des principaux points sur lesquels les négociations ont chuté, les négociations pour relancer l'accord nucléaire iranien, conclu en 2015 avec les principaux pouvoirs. Les dississions sont actuellement neutres. Ce pacte a été moribond depuis que les États-Unis se sont retirés unilatéralement, en 2018, sous la présidence de Donald Trump. Une délégation de l'AIEA avait initialement prévu d'aller à Téhéran en novembre, mais la visite n'avait pas eu lieu. Iran avait remis en question «l'utilité» d'une telle rencontre après le vote, par le Conseil des gouverneurs de l'agence, d'une résolutionDéplacer le "manque de coopération" de Téhéran et l'absence de réponses "techniquement crédibles". Au seuil En novembre, l'agence a confirmé que l'Iran avait commencé à enrichir l'uranium jusqu'à 60% dans sa centrale nucléaire de Fordo, dépassant en grande partie le seuil de 3,67% fixé par l'accord de 2015 et contenant les 90% nécessaires pour produire une e atomique. Cet accord avait accordé la réduction des sanctions internationales imposées à l'Iran, en échange de garanties que Téhéran n'acquérirait pas l'arme atomique, un objectif que la République islamique a toujours nié.
NUCULTANT: La veille d'une visite à l'AIEA, l'Iran dit qu'il peut enrichir davantage l'uranium En novembre, l'International Atomic Energy Agency a confirmé que l'Iran avait commencé à enrichir l'uranium jusqu'à 60% dans sa centrale nucléaire de Fordo , dépassant de loin le seuil de 3 67% fixé par l'accord de 2015 et l'approche du90% nécessaires pour produire une e atomique. "La production d'énergie nucléaire et d'électricité atomique représente les grandes économies pour le pays et est efficace pour réduire la consommation de combustibles fossiles et non renouvelables, et fournissant des solutions à l'environnementproblèmes." L'AIAA, basée à Vienne, a annoncé mercredi que son équipe technique irait en Iran dimanche, afin de discuter de la présence de matières nucléaires sur trois sites infructueux, un dossier qui nourrit des soupçons d'activités nucléaires secrètes. L'agence a demandéL'Iran pendant des années explique la présence de l'uranium sur ces sites et la possibilité de collecter des échantillons. Le directeur général de l'Organisation de surveillance nucléaire des Nations Unies, Rafael Grossi, ne devrait pas aller en Iran cette fois. Le 9 décembre, Mohammad Eslami a déclaré que des traces d'uranium enrichi trouvées en Iran avaient été introduites dans le pays de l'étranger. Au point de la mort Ce dossier est l'un des principaux points sur lesquels les négociations ont chuté, les négociations pour relancer l'accord nucléaire iranien, conclu en 2015 avec les principaux pouvoirs. Les dississions sont actuellement neutres. Ce pacte a été moribond depuis que les États-Unis se sont retirés unilatéralement, en 2018, sous la présidence de Donald Trump. Une délégation de l'AIEA avait initialement prévu d'aller à Téhéran en novembre, mais la visite n'avait pas eu lieu. Iran avait remis en question «l'utilité» d'une telle rencontre après le vote, par le Conseil des gouverneurs de l'agence, d'une résolutionDéplacer le "manque de coopération" de Téhéran et l'absence de réponses "techniquement crédibles". Au seuil En novembre, l'agence a confirmé que l'Iran avait commencé à enrichir l'uranium jusqu'à 60% dans sa centrale nucléaire de Fordo, dépassant en grande partie le seuil de 3,67% fixé par l'accord de 2015 et contenant les 90% nécessaires pour produire une e atomique. Cet accord avait accordé la réduction des sanctions internationales imposées à l'Iran, en échange de garanties que Téhéran n'acquérirait pas l'arme atomique, un objectif que la République islamique a toujours nié.