L'Art déco, musée imaginaire de l'égyptomanie

  • l’année dernière
Météo du L'Art déco, musée imaginaire de l'égyptomanie
-------------------------------------------
Please SUBSCRIBE my YOUTUBE chanel
Merci d'avoir regardé la vidéo
Si vous trouvez cela intéressant, laissez un commentaire positif pour nous aider à naviguer sur notre chaîne.
⚠️ N'oublies pas d'activer les notifications (clique sur la petite cloche �� ☝ en haut) si tu ne veux pas rater mes futures vidéos ! ⚠️
Gros bisous, j'espère que vous allez apprécier cette vidéo, n'oubliez surtout pas de vous abonner à ma chaîne.
Merci de partager cet article sur Facebook et sur vos autres réseaux sociaux !
Les éditions Norma publient un « beau livre » : Art déco & égyptomanie. Tout à la fois instructif et délectable au regard.  De bienfaisants alizés soufflent cet hiver sur les vastes territoires où le mouvement Art déco a posé sa marque. La Cité de l’architecture et du patrimoine déploie, à travers la passionnante exposition Art déco, France/Amérique du Nord, les fastes d’un style qui, alimenté par nos plus talentueux créateurs (de l’architecte Jacques Carlu à l’ensemblier Jacques-Emile Ruhlmann, en passant par d’innombrables peintres, sculpteurs, joailliers, décorateurs de cinéma), s’exporta généreusement outre-Atlantique au tournant des années 1920 pour nous revenir en boomerang jusqu’aux prémices de la Seconde Guerre mondiale…  Dans la mouvance de ce revival égypto-maniaque, les éditions Norma, à qui l’on doit déjà le très beau catalogue qui accompagne la manifestation parisienne, publient à présent, sous la direction de l’émérite et fort érudit collectionneur Jean-Michel Humbert, un autre « beau livre » : Art déco & égyptomanie. Tout à la fois instructif et délectable au regard.  Comment résister au rapprochement de quelques dates ? En 1822, Champollion déchiffre les hiéroglyphes ; en 1912 est mis au jour le buste de Néfertiti ; en 1922 se voit profané le tombeau de Toutankhamon. La découverte de ce trésor réactive l’engouement pour l’Egypte ancienne : elle propage à neuf ses figures revisitées dans l’architecture et la décoration, et jusque dans le théâtre, le cinéma, la publicité… Dans une forme de symbiose remarquable, l’Art déco se réempare de ses icônes, de ses lignes et de ses motifs : disque ailé, sphinx, chorégraphies géométriques – pareillement sur le Vieux continent et en Amérique, tout un réservoir de formes et d’iconographies s’y déverse.  Et ce, aussi bien dans l’art de construire que dans les arts plastiques et industriels : la signature de l’Egypte ancienne paraphe indifféremment, de son chromatisme franc et de sa stylisation épurée, l’ascenseur du Chrysler Building, à New-York ; le temple Rose-Croix de Belém, au Brésil ; la fabrique de cigarettes Carreras, à Londres ; la pharmacie Léon Gros, à Clermont-Ferrand, ou le cinéma Louxor, à Paris ; sans compter les mon

Recommandée