Grande promenade pour les vivantsUne foule réunie pour la biodiversité à Montréal

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Des centaines de personnes et des dizaines d'organisations civiles à travers le pays se sont rassemblées dans la métropole. Des délégations autochtones du monde entier ont ouvert la Grande Marche pour les vivants à Montréal, qui a débuté samedi au pied du mont Royal. Pour l'occasion, des milliers de personnes et plus d'une centaine d'organisations civiles du pays se sont réunies dans la métropole. Des centaines d'étudiants, d'aînés, de familles et d'organismes se sont réunis au pied du mont Royal en faveur de la biodiversité, dans le cadre de la COP15, qui se tient actuellement à Montréal. PHOTO CHARLES WILLIAM PELLETIER, COLLABORATION SPÉCIALE La manifestation a débuté au pied du mont Royal. PHOTO CHARLES WILLIAM PELLETIER, COLLABORATION SPÉCIALE Une banderole portée par les manifestants disait : « Nous ne faisons qu'un avec la nature. La protéger! » PHOTO CHARLES WILLIAM PELLETIER, COLLABORATION SPÉCIALE La présence autochtone était bien visible dans la manifestation. 1/3 Les co-porte-parole de Québec solidaire, Gabriel Nadeau-Dubois et Manon Massé, ainsi que la mairesse de Montréal, Valérie Plante, étaient présents pour l'événement. "On veut que François Legault soit constant", a déclaré Gabriel Nadeau-Dubois avant le début de la marche. Dans la foulée, il a dénoncé les choix de la Coalition avenir Québec de poursuivre le projet du troisième lien entre Québec et Lévis, et de ne pas avoir protégé l'habitat du caribou. « Les mots justes ne sauvent pas la biodiversité », a ajouté M. Nadeau-Dubois. La priorité de Québec solidaire en matière de biodiversité ? Un moratoire temporaire immédiat sur les claims miniers dans le sud du Québec. PHOTO CHARLES WILLIAM PELLETIER, COLLABORATION SPÉCIALE Gabriel Nadeau-Dubois et Manon Massé, coporte-paroles de Québec solidaire « C'est important que la société civile soit là, a également annoncé en point de presse Valérie Plante. Les aînés, les familles, veulent des actions concrètes, c'est ce qui ressort. La mairesse a réitéré le nouvel engagement de la Communauté métropolitaine de Montréal de protéger 30 % du territoire d'ici 2030. Un engagement qui ne sera pas facile, compte tenu de la pression sur les zones agricoles et les espaces verts à construire, a-t-elle souligné. « Mais nous devons protéger notre territoire ! PHOTO CHARLES WILLIAM PELLETIER, COLLABORATION SPÉCIALE Valérie Plante, mairesse de Montréal, était présente à la marche. Un peu plus loin, Martine Ouellet, responsable de Climat Québec, estime que le gouvernement québécois doit protéger les territoires du sud de la province. « Il y a 83 zones à protéger déjà prévues par les collectivités, ce serait un minimum pour les protéger, il n'y a aucune raison de ne pas le faire ! », s'indigne-t-elle. Délégations autochtones au premier rang La marche a commencé vers 13h30. en direction du cen

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