Moscou accélère la production d'armes "les plus puissantes", selon Medvedev
- l’année dernière
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L'ancien président russe et actuel numéro 2 du Conseil de sécurité, Dmitri Medvedev, a déclaré dimanche que Moscou avait fabriqué les "moyens les plus puissants de destruction" sur la base de "nouveaux principes", menaçant de l'utiliser contre "West. • Lisez également: en recevant le Nobel Peace Nobel, les Ukrainiens et les Russes dénoncent la guerre "folle" de Poutine • Lisez aussi: "Nous vous aimons Canada": Ukraine merci Ottawa dans une vidéo «Notre ennemi n'a pas emporté seulement dans le gouvernement de Kyïv [...]. Il est également en Europe, en Amérique du Nord, au Japon, en Australie, en Nouvelle-Zélande et dans d'autres endroitsallégeant les nazis de notre temps ", a écrit M. Medvedev. L'inverse militaire russe, ces derniers mois, a fait craindre que Moscou considère, pour renverser la tendance, utiliser son arsenal nucléaire. Cette semaine, le président russe Vladimir Poutine a mis en perspective le risque d'un tel recours en soulignant que ces armes étaient "une défense" destinées à une "grève en représailles".
L'ancien président russe et actuel numéro 2 du Conseil de sécurité, Dmitri Medvedev, a déclaré dimanche que Moscou avait fabriqué les "moyens les plus puissants de destruction" sur la base de "nouveaux principes", menaçant de l'utiliser contre "West. • Lisez également: en recevant le Nobel Peace Nobel, les Ukrainiens et les Russes dénoncent la guerre "folle" de Poutine • Lisez aussi: "Nous vous aimons Canada": Ukraine merci Ottawa dans une vidéo «Notre ennemi n'a pas emporté seulement dans le gouvernement de Kyïv [...]. Il est également en Europe, en Amérique du Nord, au Japon, en Australie, en Nouvelle-Zélande et dans d'autres endroitsallégeant les nazis de notre temps ", a écrit M. Medvedev. L'inverse militaire russe, ces derniers mois, a fait craindre que Moscou considère, pour renverser la tendance, utiliser son arsenal nucléaire. Cette semaine, le président russe Vladimir Poutine a mis en perspective le risque d'un tel recours en soulignant que ces armes étaient "une défense" destinées à une "grève en représailles".