Ce devait être le nouveau centre du pouvoir politique. Sans majorité absolue, l'Assemblée se trouve depuis juin sous le feu des projecteurs, à même de pouvoir retoquer les projets du gouvernement… quand celui-ci n'utilise pas pour passer en force le 49.3, dégainé pour la sixième fois ce vendredi 25 novembre. Des méthodes « méprisantes », dénonce Guillaume Garot, député (PS) de la Mayenne, qui regrette que les débats soient « empêchés » par un gouvernement et un président, Emmanuel Macron, encore coincés dans les schémas du quinquennat précédent.