Elle danse sur une pyramide Maya pour TikTok, la foule lui fait regretter
- l’année dernière
MEXIQUE - Une infraction à la loi doublée d’un sacrilège pour les Mayas. Une touriste espagnole a grimpé les marches d’un célèbre temple précolombien à Chichén Itzá, au Mexique, devant une foule en colère.
Sur des vidéos publiées le 22 novembre sur les réseaux sociaux et devenues virales, on voit la femme gravir la pyramide de Kukulcan tout en posant pour des photos. Arrivée au sommet, elle va même jusqu’à effectuer quelques pas de danse pour TikTok, sourire aux lèvres, sous les sifflements des autres visiteurs.
Le monument, classé au patrimoine mondial de l’UNESCO, est l’une des sept nouvelles merveilles du monde. Gravir ce site archéologique sacré sans autorisation est évidemment strictement interdit. Toute infraction est passible d’une amende pouvant monter jusqu’à 5 000 euros.
Alors que la touriste redescendait les marches, la foule a scandé en chœur « prison, prison ». Une fois arrivée en bas de la pyramide, l’Espagnole s’est faite pousser, siffler, asperger d’eau et même tirer les cheveux. Certains badauds sont allés jusqu’à suggérer de l’offrir en sacrifice aux dieux — une punition propice au lieu.
La touriste et son compagnon ont été expulsés du site archéologique avant d’être arrêtés par la police locale, qui a ouvert une procédure de verbalisation à leur encontre.
Sur des vidéos publiées le 22 novembre sur les réseaux sociaux et devenues virales, on voit la femme gravir la pyramide de Kukulcan tout en posant pour des photos. Arrivée au sommet, elle va même jusqu’à effectuer quelques pas de danse pour TikTok, sourire aux lèvres, sous les sifflements des autres visiteurs.
Le monument, classé au patrimoine mondial de l’UNESCO, est l’une des sept nouvelles merveilles du monde. Gravir ce site archéologique sacré sans autorisation est évidemment strictement interdit. Toute infraction est passible d’une amende pouvant monter jusqu’à 5 000 euros.
Alors que la touriste redescendait les marches, la foule a scandé en chœur « prison, prison ». Une fois arrivée en bas de la pyramide, l’Espagnole s’est faite pousser, siffler, asperger d’eau et même tirer les cheveux. Certains badauds sont allés jusqu’à suggérer de l’offrir en sacrifice aux dieux — une punition propice au lieu.
La touriste et son compagnon ont été expulsés du site archéologique avant d’être arrêtés par la police locale, qui a ouvert une procédure de verbalisation à leur encontre.