Des tests génétiques utilisés pour identifier les risques de maladie cardiaque
  • l’année dernière
Des tests génétiques utilisés, pour identifier les risques, de développer une maladie cardiaque.
The Guardian rapporte qu'un programme pilote en Angleterre a utilisé des tests génétiques pour identifier les personnes qui risquaient d'être atteintes de maladies cardiaques.
The Guardian rapporte qu'un programme pilote en Angleterre a utilisé des tests génétiques pour identifier les personnes qui risquaient d'être atteintes de maladies cardiaques.
L'étude de NHS a fourni des tests à plus de 1000 personnes âgées de 45 à 64 ans pour essayer de prédire leur risque de développer une maladie cardiovasculaire dans les
dix prochaines années.
L'étude de NHS a fourni des tests à plus de 1000 personnes âgées de 45 à 64 ans pour essayer de prédire leur risque de développer une maladie cardiovasculaire dans les
dix prochaines années.
Les résultats de ces tests différaient des critères standards comme l'histoire familiale, la pression artérielle, l'indice de masse corporelle ou encore la consommation de cigarettes.
Les médecins ont découvert que 13% des cas nécessitaient un changement dans le traitement des patients.
The Guardian indique que ces découvertes pourraient placer les tests génétiques comme un outil efficace dans la détection des risques de plusieurs maladies.
90% des docteurs qui ont répondu au questionnaire de fin d'étude affirment qu'ils pourraient inclure les tests génétiques dans leur routine de soin.
Les professionnels impliqués suggèrent que cette nouvelle technologie pourrait devenir commune sans trop de barrière pratiques.
Cette étude a démontré que ces tests génomiques avaient le potentiel de transformer notre façon de gérer les premiers soins de
maladies cardiovasculaires, Professeur Ahmet Fuat, enquêteur en chef de l'étude, via The Guardian.
Ces tests améliorent notre façon d'identifier les patients qui ont le plus besoin de mesures préventives, d'une gestion proche et de traitement et cela nous permet de cibler les bonnes interventions, Professeur Ahmet Fuat, enquêteur en chef de l'étude, via The Guardian
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