La toxicité des réseaux sociaux dénoncés par ces stars

  • l’année dernière
Ils cumulaient des millions d’abonnés sur leurs réseaux sociaux…
Pourtant, ces stars n’ont pas supporté la pression et ont décidé de disparaître de ces plateformes pour leur santé mentale.

- Brody Wellmaker : Tiktokeur suivi par 21 millions d’abonnés
"Prenez soin de votre santé mentale. On swipe, on rigole. On swipe, on pleure. Personne dans ce monde peut me convaincre que c’est normal et que ça ne nous affecte pas !"

- Tom Holland : Acteur suivi par 68 millions d’abonnés
"Je me laisse submerger et je vrille quand je lis quelque chose sur moi sur les réseaux et ça affecte ma santé mentale donc j'ai décidé de revenir en arrière et de supprimer les applications."

- Léna Situations : Influenceuse suivie par 3,9 millions d’abonnés sur Instagram
La jeune femme a désactivé son compte Twitter après avoir été victime quotidiennement de harcèlement et d’insultes.
"Je ne peux pas contrôler ce que les gens pensent et disent de moi, par contre je peux contrôler l'impact que ça a sur moi."

- Hailey Bieber, Mannequin suivi par 48 millions d’abonnés sur Instagram
"Je n'ai plus Twitter parce qu'il n'y a pas vraiment de moment où j'ai ouvert l'application et je n'ai pas senti que c'était un environnement toxique. L'idée même d'ouvrir l'application génère de l'anxiété et je sens que je vais vomir. Je veux que tout le monde m'aime et c'est difficile à chaque fois, je travaille sur cette pensée."

Malgré le soutien et l’adoration de millions de fans, les personnalités publiques sont constamment sous le feu des critiques.
Auparavant, les stars pouvaient difficilement se protéger de la presse people et des paparazzis.
Désormais, avec les réseaux sociaux, lorsque les comportement abusifs (messages haineux, menaces de mort, racisme.…) des internautes nuisent à leur santé mentale, ces stars peuvent dire “Stop”.
La course à l’engagement (like et commentaires) et l’obsession de l’image que l’on renvoie et des critiques incitent ainsi certaines célébrités à procéder à une “détox digitale”.

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