Le 2 août 2021, la révision de la loi bioéthique était promulguée. Elle élargissait notamment l’accès à l’AMP et permettait l’autoconservation des gamètes sans raison médicale. Cette nouvelle loi représente une belle avancée sociétale, et également en matière de lutte contre l’infertilité. Mais qu’en est-il de la réalité ? Concrètement, quel a été l’impact de cette loi sur les demandes d’AMP et de conservation des ovocytes ? La mise en pratique a-t-elle été réussie ? Y’a-t-il des manques ?