Depuis le début de l'invasion de l'Ukraine par les troupes russes de Vladimir Poutine en février, le Japon a peu ou prou aligné ses positions sur celles des autres pays du G7 : plusieurs trains de sanctions fortes, qui lui coûtent. Il a même livré des gilets pare-balles et équipements paramilitaires et accepté de façon exceptionnelle plusieurs milliers de réfugiés ukrainiens - que le gouvernement japonais appelle des déplacés.