Derrière la pompe, les ors et les honneurs qui entourent les adieux à Elizabeth II, les mouvements financiers, bien plus discrets, vont permettre à la dynastie de préserver l'essentiel du magot familial… À savoir les 425 millions d'euros de fortune personnelle de la reine, qui devraient revenir en grande partie à son fils aîné, le roi Charles III, évitant ainsi de payer des droits de succession – les transferts de souverain à souverain sont en effet exonérés d'impôts.