La variole du singe se répand au-delà des communautés spécifiques, selon l'OMS

  • il y a 2 ans
La variole du singe se répand, au-delà des communautés spécifiques, , selon l'OMS.
L'Organisation Mondiale de la Santé a publié cet avertissement ce 25 juillet.
Il intervient alors que le nombre de cas de
variole du singe augmente à travers le monde.
Selon Dr. Catherine Smallwood de l'OMS, cette maladie se répand en majeure partie chez les hommes qui ont des relations sexuelles avec d'autres hommes.
Pour le moment, la plupart des cas continue d'être reportés chez les hommes qui ont des relations sexuelles avec d'autres hommes mais la situation devrait évoluer, Dr. Catherine Smallwood, chargé des secours d'urgence, OMS, via CNBCC.
Cela pourrait être le canari dans la mine qui nous avertit de cette nouvelle maladie qui pourrait se propager dans d'autres groupes, Dr. Catherine Smallwood, chargé des secours d'urgence, OMS, via CNBCC.
L'OMS a récemment classé la pandémie de variole du singe comme
"une urgence publique et mondiale".
Nous avons une pandémie qui se répand rapidement à travers le mode, via de nouveaux modes de transmission, que nous ne connaissons pas assez, Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l'OMS, via CNBCC.
Pour toutes ces raisons, j'ai décidé que la variole du singe représentait une urgence publique internationale, Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l'OMS, via CNBCC.
Dr. Smallwood a expliqué que plus le virus était présnet plus son impact sur le
public serait important.
Si elle se propage dans d'autres groupes. particulièrement ceux qui sont les plus vulnérables à des formes sévères de la maladie.., Dr. Catherine Smallwood, chargé des secours d'urgence, OMS, via CNBCC.
... l'impact sur la santé publique pourrait être plus important, Dr. Catherine Smallwood, chargé des secours d'urgence, OMS, via CNBCC.
Elle a également insisté sur l'importance de récolter des données sur la vaccination.
Nous n'avons pas assez d'informations sur l'efficacité des vaccins contre la
variole du singe, Dr. Catherine Smallwood, chargé des secours d'urgence, OMS, via CNBCC.
Nous avons besoin d'être certains que des contremesures existent et qu'elles sont disponibles pour être mises en place à grande échelle, Dr. Catherine Smallwood, chargé des secours d'urgence, OMS, via CNBCC

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