Avec les élèves de l’école de l’Air qui préparent le défilé du 14-Juillet en région parisienne
- il y a 2 ans
Les 130 élèves de première année de la promotion de l’école de l’Air et de l’Espace, basée à Salon, enchaînent les répétitions à un rythme soutenu, depuis une semaine en région parisienne.
Ce mardi, devant le gouverneur militaire de Paris, ils ont participé à une répétition grandeur nature du défilé, au camp d’entraînement de Satory (Yvelines). Un défilé de 48 minutes chrono pour l’ensemble des troupes, durant lequel leur passage a été jugé excellent. Le challenge est tout tracé : faire encore mieux jeudi matin.
Pour les 7 000 soldats, aviateurs et marins appelés à défiler, ce moment est très attendu. "Certains ne défilent jamais, alors le faire aussi tôt dans notre carrière, c’est une chance", estime l’aspirant Franck, originaire de Berre l’Étang. "Un honneur, voire un Graal", appuient d’autres élèves originaires de la région, comme l’aspirant Antoine, de Pélissanne, le sous-lieutenant Guillaume, de Salon, l’aspirant Messine, "pur Salonais", ou encore l’aspirante Alexandra, de Nîmes. Cette dernière veut être pilote de chasse, et cite volontiers comme exemple la colonelle Anne-Laure Michel, qui commandera bientôt la base d’Istres. D’autres, comme Guillaume, visent un poste de navigateur officier système d’armes. Quant à l’aspirant Antoine, qui rêve de piloter un Mirage 2000-5 d’ici six ans, il aura un autre challenge à relever demain, puisqu’il sera le porte-drapeau de son école, celui qui défilera en tête devant ses camarades.
Ce mardi, devant le gouverneur militaire de Paris, ils ont participé à une répétition grandeur nature du défilé, au camp d’entraînement de Satory (Yvelines). Un défilé de 48 minutes chrono pour l’ensemble des troupes, durant lequel leur passage a été jugé excellent. Le challenge est tout tracé : faire encore mieux jeudi matin.
Pour les 7 000 soldats, aviateurs et marins appelés à défiler, ce moment est très attendu. "Certains ne défilent jamais, alors le faire aussi tôt dans notre carrière, c’est une chance", estime l’aspirant Franck, originaire de Berre l’Étang. "Un honneur, voire un Graal", appuient d’autres élèves originaires de la région, comme l’aspirant Antoine, de Pélissanne, le sous-lieutenant Guillaume, de Salon, l’aspirant Messine, "pur Salonais", ou encore l’aspirante Alexandra, de Nîmes. Cette dernière veut être pilote de chasse, et cite volontiers comme exemple la colonelle Anne-Laure Michel, qui commandera bientôt la base d’Istres. D’autres, comme Guillaume, visent un poste de navigateur officier système d’armes. Quant à l’aspirant Antoine, qui rêve de piloter un Mirage 2000-5 d’ici six ans, il aura un autre challenge à relever demain, puisqu’il sera le porte-drapeau de son école, celui qui défilera en tête devant ses camarades.