La publication des Uber Files met en lumière les liens entre Uber et Emmanuel Macron.
Selon de nouveaux documents publiés par le Consortium international des
journalistes d’investigation (ICIJ).
Plusieurs connexions ont pu être établies entre
Uber et Emmanuel Macron.
En tant que ministre de l'Économie dès 2014, il aurait permis à l'entreprise de renégocier les termes de son installation en France.
Entre septembre 2014 et février 2016, il y aurait eu plus d’une trentaine de contacts directs avec la firme et le cabinet du ministre, et au moins quatre rencontres entre le ministre et Travis Kalanick, le PDG d'Uber.
Un accord aurait eu lieu sur l’allégement des conditions d’obtention des licences VTC contre l’arrêt d’Uber Pop.
Ce service qui permettait à chacun de devenir chauffeur avait été interdit par le gouvernement
de François Hollande.
Au sein de l'opposition plusieurs personnalités ont souhaité faire entendre leur opinion sur ce sujet.
Le communiste Fabien Roussel a réagi sur Twitter en dénonçant le travail de lobbying du Président français.