Chats errants : faut-il (ou non) les nourrir ?
- il y a 2 ans
A-t-on le droit de nourrir des chats errants ?
En réalité, la réponse n’est pas si évidente.
Un chat errant est un animal non identifié et non stérilisé.
"Bien qu’ils soient sauvages ou semi-sauvages, ils sont considérés comme des animaux domestiques." SPA
La loi interdit de nourrir les animaux errants dans les lieux publiques et les voies privées (cours ou parties communes de résidence…) sous peine d’une amende maximale de 450 euros.
Une autre loi vient néanmoins contrebalancer cela : les mauvais traitements envers les animaux domestiques et les animaux sauvages apprivoisés sont punis d’une peine maximale de 750 euros.
Par mauvais traitements, on entend la privation d’eau, de nourriture ou de soin lorsque l’animal est blessé.
Que faut-il comprendre alors ?
Nourrir un animal errant ne doit causer aucune gêne pour le voisinage, ne doit pas augmenter le risque de contamination par un animal malade ou encore attirer des rongeurs.
Mais si ce geste part d’une bonne intention, il dessert l’intérêt de la cause animale car cela facilite la reproduction de l’animal errant, multipliant la colonie.
Résultat : le nombre d’euthanasie potentielle effectuée par les fourrières augmente.
Néanmoins, il n’existe aucune interdiction pour les chats dits "libres" (identifiés et stérilisés) puisque le risque de prolifération n’existe pas dans ce cas-là.
En réalité, la réponse n’est pas si évidente.
Un chat errant est un animal non identifié et non stérilisé.
"Bien qu’ils soient sauvages ou semi-sauvages, ils sont considérés comme des animaux domestiques." SPA
La loi interdit de nourrir les animaux errants dans les lieux publiques et les voies privées (cours ou parties communes de résidence…) sous peine d’une amende maximale de 450 euros.
Une autre loi vient néanmoins contrebalancer cela : les mauvais traitements envers les animaux domestiques et les animaux sauvages apprivoisés sont punis d’une peine maximale de 750 euros.
Par mauvais traitements, on entend la privation d’eau, de nourriture ou de soin lorsque l’animal est blessé.
Que faut-il comprendre alors ?
Nourrir un animal errant ne doit causer aucune gêne pour le voisinage, ne doit pas augmenter le risque de contamination par un animal malade ou encore attirer des rongeurs.
Mais si ce geste part d’une bonne intention, il dessert l’intérêt de la cause animale car cela facilite la reproduction de l’animal errant, multipliant la colonie.
Résultat : le nombre d’euthanasie potentielle effectuée par les fourrières augmente.
Néanmoins, il n’existe aucune interdiction pour les chats dits "libres" (identifiés et stérilisés) puisque le risque de prolifération n’existe pas dans ce cas-là.