Alors que les autorités sanitaires surveillent de près le monkeypox, beaucoup craignent d'attraper le virus et d'en subir les conséquences. mais...
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Points clés Alors que les autorités sanitaires surveillent de près la variole du singe, beaucoup craignent d'attraper le virus et d'en subir les conséquences. Mais est-ce si grave ? Avec le virus monkeypox, risquez-vous votre vie comme le Covid-19 ?

Monkeypox commence à attirer l'attention. Il y a actuellement plus de 200 infections enregistrées dans 19 pays. La maladie a même atteint la France, jusqu'en Occitanie, où des cas ont été détectés. Les autorités sanitaires prennent la question au sérieux et préconisent déjà diverses manières de lutter contre le virus. La situation rappelle celle du Covid-19.

Mais comme ce dernier, le monkeypox met-il la vie en danger ? Quel est son taux de mortalité ? Risquez-vous d'être hospitalisé en cas d'infection ? décrypter.

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soins appropriés

Sur les 200 personnes infectées jusqu'à présent, aucune n'est morte de la variole du singe. Plusieurs cas ont nécessité une hospitalisation, mais le taux de mortalité reste à déterminer. On peut tous faire la lumière sur la mortalité par monkeypox en analysant la situation en Afrique, selon Santé Publique française, "ces dernières années il y a eu 6 000 cas par an en République Démocratique du Congo".

"En général, les épidémies de monkeypox ont un taux de létalité de 1 à 10%", a déclaré l'Organisation mondiale de la santé. Des chiffres à relativiser, car malheureusement, la qualité des soins prodigués dans certains pays africains est souvent en deçà des standards des pays industrialisés comme la France. "Avec des soins appropriés, la plupart des patients se rétablissent", a poursuivi l'organisation. Ainsi, la maladie peut être mortelle, mais si elle est traitée correctement, les issues fatales sont encore très rares.

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Les personnes les plus à risque de développer le monkeypox sévère sont les "immunodéprimés" et les "tranches d'âge les plus jeunes", selon Santé Publique France : "Les personnes les plus à risque de développer la forme clinique sévère doivent porter une attention particulière à tout épisode d'aggravation". ces cas, selon vos symptômes, une hospitalisation peut être possible.

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