De retour le jeudi 12 mai 2022, dans la peau du personnage totalement banni de Morgane Alvaro dans "HPI", Audrey Fleurot n'était que trop consciente des difficultés des femmes dans la société. Elle-même a souvent été victime de harcèlement de rue, voire "traumatisée". Elle parle franchement, mais avec une rage noire.
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Audrey Fleurot a été victime de harcèlement de rue à plusieurs reprises.

De retour le jeudi 12 mai 2022, dans la peau du personnage totalement banni de Morgane Alvaro dans "HPI", Audrey Fleurot n'était que trop consciente des difficultés des femmes dans la société. Elle-même a souvent été victime de harcèlement de rue, voire "traumatisée". Elle parle franchement, mais avec une rage noire.

100% des femmes ont été victimes de harcèlement de rue. Qu'il s'agisse d'insultes, de propos déplacés, de tentatives de séduction persistantes malgré le refus de l'interlocuteur, voire d'agressions sexuelles pures et simples, le harcèlement de rue est un fléau quotidien auquel des milliers de personnes sont confrontées au quotidien. De plus en plus de personnes s'expriment sur le sujet, dénonçant un problème systémique basé sur le sexisme et un désir de faire honte, mais surtout, il n'est toujours pas pris au sérieux par beaucoup d'hommes.

vidéo. "Je n'arrive pas à le séduire" : Audrey Fleurot a des ennuis avec son chéri dans HPI

Audrey Fleurot, traumatisée par le harcèlement de rue

Star connue et reconnue, Audrey Fleurot s'est facilement fait remarquer avec ses cheveux roux. Mais de son enfance, ce ne sont pas forcément des atouts, surtout quand l'actrice essaye d'être prudente. "On me voit trop", confiait l'actrice dans sa chronique Paris Match. Que ce soit pour le casting ou dans la rue, d'ailleurs. De plus, Audrey Floreaux a développé des petites habitudes dès son plus jeune âge pour tenter d'échapper au harcèlement de rue. "Quand j'étais plus jeune, quand je rentrais à la maison le soir, je troquais mes talons pour des baskets, j'attachais mes cheveux et mettais un foulard."

Elle s'en est rendu compte : "Quand tu es une fille, tu es toujours agressée. Il faut trouver la parade." L'une des siennes était de me sortir des transports en commun : "J'ai commencé à faire du scooter quand j'avais 20 ans, Parce que je ne supporte pas d'être dérangé dans le métro. Une fois, tu m'as demandé quand j'étais dans la rue, j'ai sorti des gaz lacrymogènes, alors j'ai été traumatisé. Il faut dire qu'elle aussi a eu de mauvaises expériences : "Ma première rencontre avec des hommes, c'était une exhibitionniste des Buttes Chaumont", confiait-elle sur le plateau de "Càvous" en 2018. "Je marchais sur la ligne 7bis. J'ai vu des expositions