« On s’est cassé les dents sur cette affaire pendant 44 ans, et avec la généalogie génétique, 4 mois et demi. Le crime parfait n’existe plus. » Quand l’ADN passe aux aveux, « Dans l’ADN il y a 3 milliards d’informations. » attention à qui mène l’interrogatoire. « Il est possible de voir si le candidat a tendance à être dépressif. Ces informations elles pourraient être regardées par votre assureur. »
ADN, la fin du crime ?
Un documentaire suivi d’un débat, dimanche à 20h55 sur France 5.