L'entreprise Ferrero est habituée au feu médiatique. Contre le géant de la confiserie italienne, il y avait déjà eu la charge de Jean-Luc Mélenchon, à l'automne dernier, contre le Nutella, produit superstar du groupe. « Ce n'est pas bon pour les enfants, pas bon pour les forêts et les animaux qui y vivent. » Avant, il y avait eu Ségolène Royal qui avait appelé à un boycott en 2015 pour lutter contre la déforestation et, un peu plus tôt, il y avait eu aussi le projet avorté de créer une taxe du nom de la célèbre pâte à tartiner. Sans oublier une belle polémique quand une promotion de 70 % sur des pots de Nutella avait provoqué, en France, des bousculades monstres dans les supermarchés.