Fusillade en Corée du Nord : la Chine et la Russie rejettent les sanctions plus sévères de l'ONU
- il y a 2 ans
Indignation internationale face au lancement de l'ICBM par la Corée du Nord au Conseil de sécurité de l'ONU jeudi, la Chine rejette... - 26 mars 2022 07:35 - Bousorama
#Tirnordcoréen #Chine #Russierefusent
Le dirigeant nord-coréen Kim Jong Un (c) devant un missile balistique intercontinental Hwasong-17 dans un lieu non précisé en Corée du Nord, le 24 mars 2022 (KCNA VIA KNS/Force))
Le lancement par la Corée du Nord d'un missile balistique intercontinental (ICBM) a suscité l'indignation internationale, tandis que la Chine et la Russie ont refusé de durcir les sanctions contre Pyongyang.
Linda Thomas-Greenfield, ambassadrice des États-Unis auprès des Nations Unies, a condamné les "provocations de plus en plus dangereuses" de la Corée du Nord lors de la réunion du Conseil de sécurité et a annoncé que les États-Unis présenteraient une résolution visant à "renforcer le régime des sanctions". Lors d'un lancement d'ICBM nord-coréen en 2017.
Mais Pékin et Moscou ont exclu toute ligne dure. L'ambassadeur chinois Zhang Jun s'oppose même à la "levée des sanctions au moment opportun", tandis que la diplomate russe Anna Evstineva a exprimé sa crainte que le durcissement des sanctions "ne menace les problèmes sociaux des citoyens nord-coréens - économiquement et humanitairement inacceptables".
Après la réunion, 15 pays, dont les trois membres permanents du Conseil de sécurité, le Royaume-Uni, la France et les États-Unis, mais pas la Chine et la Russie, ont publié une déclaration commune exhortant les membres de l'ONU, en particulier ceux du Conseil de sécurité, à faire Suite.
"La Corée du Nord a démontré sa détermination à poursuivre son programme d'armement tout en intensifiant son comportement provocateur -- mais le Conseil de sécurité est resté silencieux", indique le communiqué, signé entre autres par les membres non permanents Brésil, Irlande et Norvège de la Corée du Sud.
Le missile lancé jeudi a volé plus haut et plus loin que n'importe quel ICBM que la nation dotée d'armes nucléaires avait précédemment testé.
Connu sous le nom de Hwasong-17, il est capable de frapper n'importe quelle partie du territoire américain et a atterri dans les eaux économiques exclusives du Japon.
Photo publiée par l'agence nord-coréenne Kcna le 25 mars 2022, Un missile balistique intercontinental Hwasong-17 est lancé depuis un lieu non précisé en Corée du Nord le 24 mars 2022 (KCNA VIA KNS/STR)
Le dirigeant nord-coréen Kim Jong Un a personnellement ordonné et supervisé le procès, affirme
#Tirnordcoréen #Chine #Russierefusent
Le dirigeant nord-coréen Kim Jong Un (c) devant un missile balistique intercontinental Hwasong-17 dans un lieu non précisé en Corée du Nord, le 24 mars 2022 (KCNA VIA KNS/Force))
Le lancement par la Corée du Nord d'un missile balistique intercontinental (ICBM) a suscité l'indignation internationale, tandis que la Chine et la Russie ont refusé de durcir les sanctions contre Pyongyang.
Linda Thomas-Greenfield, ambassadrice des États-Unis auprès des Nations Unies, a condamné les "provocations de plus en plus dangereuses" de la Corée du Nord lors de la réunion du Conseil de sécurité et a annoncé que les États-Unis présenteraient une résolution visant à "renforcer le régime des sanctions". Lors d'un lancement d'ICBM nord-coréen en 2017.
Mais Pékin et Moscou ont exclu toute ligne dure. L'ambassadeur chinois Zhang Jun s'oppose même à la "levée des sanctions au moment opportun", tandis que la diplomate russe Anna Evstineva a exprimé sa crainte que le durcissement des sanctions "ne menace les problèmes sociaux des citoyens nord-coréens - économiquement et humanitairement inacceptables".
Après la réunion, 15 pays, dont les trois membres permanents du Conseil de sécurité, le Royaume-Uni, la France et les États-Unis, mais pas la Chine et la Russie, ont publié une déclaration commune exhortant les membres de l'ONU, en particulier ceux du Conseil de sécurité, à faire Suite.
"La Corée du Nord a démontré sa détermination à poursuivre son programme d'armement tout en intensifiant son comportement provocateur -- mais le Conseil de sécurité est resté silencieux", indique le communiqué, signé entre autres par les membres non permanents Brésil, Irlande et Norvège de la Corée du Sud.
Le missile lancé jeudi a volé plus haut et plus loin que n'importe quel ICBM que la nation dotée d'armes nucléaires avait précédemment testé.
Connu sous le nom de Hwasong-17, il est capable de frapper n'importe quelle partie du territoire américain et a atterri dans les eaux économiques exclusives du Japon.
Photo publiée par l'agence nord-coréenne Kcna le 25 mars 2022, Un missile balistique intercontinental Hwasong-17 est lancé depuis un lieu non précisé en Corée du Nord le 24 mars 2022 (KCNA VIA KNS/STR)
Le dirigeant nord-coréen Kim Jong Un a personnellement ordonné et supervisé le procès, affirme