Covid : vague 6, l'impact de la BA.2... les prédictions de l'Institut Pasteur après la fin des masqu

  • il y a 2 ans
L’Institut Pasteur a publié jeudi 10 mars un nouveau rapport sur l’impact de la sous-variante BA.2 et l’impact de la réduction des mesures d’hygiène sur la circulation du Covid-19…
#Covid #6evague #impact
L'Institut Pasteur a publié jeudi 10 mars un nouveau rapport sur l'impact de la sous-variante BA.2 et l'impact de la réduction des mesures d'hygiène sur la circulation du Covid-19 dans les métropoles françaises. On fait le point.

Le 14 mars, les masques obligatoires ont été retirés un peu partout. Comme vous le savez, jeudi 3 mars, Jean Castex a annoncé l'assouplissement des mesures sanitaires actuelles en France. Alors, faut-il s'inquiéter d'un rebond ? Selon le modèle publié par l'Institut Pasteur jeudi 10 mars et repris par The Huffington Post, il n'y a pas lieu de s'inquiéter.

Indépendamment de la détente des gestes de quarantaine, les chercheurs s'attendent à ce que le pic de pollution soit bien inférieur à celui de janvier de l'année dernière – la cinquième vague faisant en moyenne plus de 300 000 cas quotidiens de coronavirus détectés pendant une semaine.

L'Institut Pasteur a mis en ligne le nouveau modèle, qui devrait sortir lundi (fin des masques et pass pour les vaccinations).



Même avec l'augmentation significative des contacts à partir du 7 mars, le pic quotidien de cas restera bien en deçà du pic de fin janvier.



1/8 LfuWdo1FVl — nicolasberrod 10 mars 2022

Quelle est l'hypothèse la plus défavorable ?

Comme on peut le voir sur ces graphiques, dans le pire des cas (violet), le nombre maximum de nouveaux cas par jour ne dépassera pas 170 000. Ces projections soulignent que l'immunité conférée par Omicron et la vaccination permettent de limiter l'ampleur de l'infection. Pandémie, désigne The Huffington Post. L'hypothèse de l'Institut Pasteur est que le changement de comportement s'est produit avant le 1er mars, ce qui a été écrit.

S'il devait y avoir une sixième vague, dans tous les cas étudiés, elle se serait affaiblie en avril, désignant le Centre international de recherche biomédicale, mais elle a tout de même modéré : « Ces scénarios reposent sur des données incomplètes et des hypothèses incertaines. L'Institut prévient Pasteur : il est difficile de prévoir la propagation du virus SARS-CoV-2, et la dynamique de l'épidémie peut changer rapidement.

Nous explorons de nouvelles augmentations de l'exposition à partir des mesures d'assouplissement du 14 ou du 7 mars. Dans tous les cas, le pic de cas reste bien en deçà du pic de janvier. 0aT13jgHka — SCauchemez 10 mars 2022

Il existe une autre donnée qui reste inconnue : la durée de l'immunité conférée par l'infection par Omicron.

pour'

Recommandée