Les enfants de Ménilmontant Thierry Marx, dans la cuisine du bistrot de la Tour Eiffel

  • il y a 2 ans
"Je suis né au XXe siècle, j'étais en haut à Ménilmontant, et j'ai vu cette toute petite tour Eiffel, qui m'a fait rire", a déclaré à l'AFP le chef Thierry Marx dans un prochain billet à Iron Lady au premier étage.
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"Je suis né au XXe siècle, j'étais en haut à Ménilmontant, et j'ai vu cette toute petite tour Eiffel, qui m'a fait rire", a déclaré à l'AFP le chef Thierry Marx dans un prochain post sur Iron Lady au premier étage.

Le bâtiment relooké, dont l'aménagement paysager comprend le Trocadéro, Chaillot et la structure métallique de la tour, rouvrira le 17 mai en raison de la fermeture de grands travaux ralentis par la pandémie de Covid-19 en 2019. Mais les précommandes commencent ce jeudi.

Au menu, des plats typiques de bistrot : « Poitrine de veau rôtie aux fèves, daurade royale, bolognaise de maquereaux, pontons » et « L'accompagnement du moment : pommes de terre au four avec mesclun et pickles », rubrique Hors du chef, il mène une équipe de 80 personnes, et sa carte aura, comme toujours, un « gros rayon légumes ».

"On connaissait les cornichons, mais on oubliait tous les petits légumes en conserve qui ornaient le bistrot, tellement on s'amusait", poursuit Thierry Marx, chef exécutif du Mandarin Oriental, Paris, deux étoiles Michelin.

Il proposera des produits de saison issus de l'agriculture raisonnée, dont 70% sont fournis par des producteurs et artisans locaux en circuit court - moins de 200 km - pour certains membres de l'"Association des Artisans de la Tour Eiffel". région -de-France.

Parmi elles, la coopérative parisienne Paysan urbain proposera des fleurs comestibles et des micro-bourgeons bio, « des plantes ou des pousses d'herbes récoltées très tôt et intégrées par les habitants », explique son co-fondateur Gérard Munier. Les chefs sont "très sensibles à notre engagement social et à la qualité des produits", a-t-il déclaré.

- "Anonyme" de la tour -

Thierry Marx veut "redécouvrir la diversité qui a marqué la cuisine de bistrot depuis le milieu du XIXe siècle : cet immigré de l'arrière-pays, des Aveyronnais, des Bretons, des Auvergnats arrivé à Paris", sans le côté carte postale.

Les chefs de L'Étoile du Nord, qui a ouvert en Gare du Nord en 2016 avant de fermer en 2019, ont renoué avec cette tradition.

"Snacks" l'après-midi, et un nouveau petit-déjeuner : Madame Brasserie doit attirer les touristes du monde entier, tout en "attirant les Parisiens et les Français", avec un déjeuner composé d'entrées, de plats,

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