Jean-Luc Melenchon sur un vol international à La Réunion
- il y a 2 ans
Lors d'un meeting à Saint-Denis samedi, les candidats de La France insoumise ont commenté en détail la guerre en Ukraine, abordant au passage la politique étrangère d'Emmanuel Macron, puis déployant ses projets économiques et sociaux.
#ARéunion #JeanLuc #Mélenchonair #international #réunion #reuniontigres #norte
Tout d'abord, souriez. A sa descente d'avion à La Réunion jeudi matin, Jean-Luc Mélenchon a appris que ses parrains avaient finalement dépassé les 500, grâce en partie au soutien de plusieurs élus des départements d'outre-mer. Rebel est un habitué de l'île, où il obtient ses meilleurs résultats. À l'élection présidentielle de 2017, il est même arrivé en tête du premier tour avec 24,5 % des voix, devant Marine Le Pen et Emmanuel Macron. Sourire, mais surtout sérieux. En route vers l'océan Indien, Poutine déclare la guerre à l'Ukraine. En outre, Mélenchon a culminé par une visite de quatre jours lors d'une conférence à Saint-Denis samedi, où il a passé la majeure partie de son discours à discuter de la crise internationale.
L'urgence du "désarmement nucléaire"
Sans surprise, le candidat a condamné l'agression russe tout en pointant sa responsabilité : "Depuis 2014, je répète que nous n'humilierons pas longtemps la Russie en continuant à pousser toutes les portes de l'Otan." . "Nous n'avons rien à voir avec ces équipages, l'OTAN est un camp de perdants, un camp de ceux qui ne tiennent pas leurs promesses. Une autre alliance est nécessaire, une autre France doit avancer sur la scène internationale, une France non alignée, une La France francisée anti-mondialiste.…
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Tout d'abord, souriez. A sa descente d'avion à La Réunion jeudi matin, Jean-Luc Mélenchon a appris que ses parrains avaient finalement dépassé les 500, grâce en partie au soutien de plusieurs élus des départements d'outre-mer. Rebel est un habitué de l'île, où il obtient ses meilleurs résultats. À l'élection présidentielle de 2017, il est même arrivé en tête du premier tour avec 24,5 % des voix, devant Marine Le Pen et Emmanuel Macron. Sourire, mais surtout sérieux. En route vers l'océan Indien, Poutine déclare la guerre à l'Ukraine. En outre, Mélenchon a culminé par une visite de quatre jours lors d'une conférence à Saint-Denis samedi, où il a passé la majeure partie de son discours à discuter de la crise internationale.
L'urgence du "désarmement nucléaire"
Sans surprise, le candidat a condamné l'agression russe tout en pointant sa responsabilité : "Depuis 2014, je répète que nous n'humilierons pas longtemps la Russie en continuant à pousser toutes les portes de l'Otan." . "Nous n'avons rien à voir avec ces équipages, l'OTAN est un camp de perdants, un camp de ceux qui ne tiennent pas leurs promesses. Une autre alliance est nécessaire, une autre France doit avancer sur la scène internationale, une France non alignée, une La France francisée anti-mondialiste.…