Marche blanche de Saint-Laurent-de-la-Salanque : "Tant que ce n'est pas un crime, ce n'est pas un en
- il y a 2 ans
Ce dimanche 20 février, le Maire Alain Got a fait part de son désespoir et de son chagrin pour...
#Marcheblanche #SaintLaurentdelaSalanque #Pourvu #criminel #enfantpays #
Le maire Alain Got a partagé son désespoir et son chagrin pour sa famille ce dimanche 20 février, à l'occasion d'un défilé blanc en l'honneur des victimes sur les rues Lamartine et Arago.
"C'est une catastrophe que nous n'avions pas prévue", s'est exclamé Alan ce dimanche matin. "Cette marche blanche permettra aux habitants d'exprimer leur soutien, de faire ressortir leur malaise et de prendre conscience de ce qui s'est passé. Il faut pouvoir faire le deuil", a-t-il expliqué.
Le chef du village, comme tout le village, attend les résultats de l'enquête "incendie criminel" : "Je pense que c'est important de savoir. Je sens une planche de plomb. Les rues sont fermées, perturbées, les gens réfléchissent. On entend Des rumeurs, même nous, nous nous posons aussi des questions. Nous voulons que l'enquête se poursuive au plus vite. Les procureurs nous donnent des informations. Pourvu que nous ne trouvions pas le pire. C'est un crime. C'est un enfant du pays. "
En attendant, le premier édile a tenu à saluer la solidarité des Laurentins, du Service de l'Etat, du département et "des collègues maires qui nous ont soutenus dans cette épreuve". Il a également remercié les services d'urgence : « Les policiers sont là depuis le temps T, et les pompiers sont là. Je tiens à vous remercier personnellement d'être venu et de votre soutien à la famille et aux Laurentides, car Saint Laurent est dans son cœur. », a-t-il raconté aux misérables 2 000 personnes rassemblées dans la cour avant de la mairie.
#Marcheblanche #SaintLaurentdelaSalanque #Pourvu #criminel #enfantpays #
Le maire Alain Got a partagé son désespoir et son chagrin pour sa famille ce dimanche 20 février, à l'occasion d'un défilé blanc en l'honneur des victimes sur les rues Lamartine et Arago.
"C'est une catastrophe que nous n'avions pas prévue", s'est exclamé Alan ce dimanche matin. "Cette marche blanche permettra aux habitants d'exprimer leur soutien, de faire ressortir leur malaise et de prendre conscience de ce qui s'est passé. Il faut pouvoir faire le deuil", a-t-il expliqué.
Le chef du village, comme tout le village, attend les résultats de l'enquête "incendie criminel" : "Je pense que c'est important de savoir. Je sens une planche de plomb. Les rues sont fermées, perturbées, les gens réfléchissent. On entend Des rumeurs, même nous, nous nous posons aussi des questions. Nous voulons que l'enquête se poursuive au plus vite. Les procureurs nous donnent des informations. Pourvu que nous ne trouvions pas le pire. C'est un crime. C'est un enfant du pays. "
En attendant, le premier édile a tenu à saluer la solidarité des Laurentins, du Service de l'Etat, du département et "des collègues maires qui nous ont soutenus dans cette épreuve". Il a également remercié les services d'urgence : « Les policiers sont là depuis le temps T, et les pompiers sont là. Je tiens à vous remercier personnellement d'être venu et de votre soutien à la famille et aux Laurentides, car Saint Laurent est dans son cœur. », a-t-il raconté aux misérables 2 000 personnes rassemblées dans la cour avant de la mairie.