« J’ai une approche traditionnelle : une femme est une femme, un homme est un homme », a concédé Vladimir Poutine, jeudi 23 décembre, pour réaffirmer son approche conservatrice. Le président de la Russie a ensuite frappé fort en insinuant que les changements de genre pouvaient être assimilés à des déviances. « J’espère que notre société a une protection morale interne, dictée par nos confessions religieuses traditionnelles (…) contre cet obscurantisme », a-t-il affirmé. Interrogé sur la cancel culture et les accusations de « transphobie » visant la créatrice de Harry Potter, J. K. Rowling, il a soutenu que, si un homme pouvait se déclarer comme femme et participer à des compétitions sportives, « le sport féminin allait complètement disparaître ».