Journée mondiale des toxicomanies - Roselyne Febvre : "Le pire, c’est cette peur accrochée au ventre : celle de perdre son enfant"

  • il y a 3 ans
Elle vit avec « la peur au ventre », celle de perdre son fils, 26 ans, toxicomane. Dans Les battements de cœur du colibri (éditions du Rocher), la journaliste Roselyne Febvre raconte la terrible descente aux enfers de son fils Arthur dans les méandres de la drogue.L’incompréhension, la détresse, l’impuissance, la douleur, l’angoisse permanente, le sentiment de culpabilité, et le combat, encore et toujours : au micro de Yahoo, à l’occasion de la Journée nationale des toxicomanies, Roselyne Febvre revient sur cette spirale infernale dans laquelle son fils a un jour sombré. Un témoignage poignant.

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