«Je ne crois pas que l’on puisse interdire un courant», déclare Valérie Pécresse
  • il y a 3 ans
Invitée du Grand Rendez-Vous, dimanche 29 août, Valérie Pécresse, candidate à l'élection présidentielle, s'est positionnée sur la lutte contre le radicalisme islamique. 
«Je ne crois pas que l’on puisse interdire un courant […] Ce que l’on peut faire c’est fermer toute mosquée dans lequel un prédicateur prononcerait des mots contraires aux valeurs de la République».
«la proposition de François Fillon de 2017 est toujours pertinente», a-t-elle poursuivi. «C'est-à-dire prendre le délit d’intelligence avec l’ennemi et l’appliquer à des personnes suspectées de sympathies avec des mouvements terroristes, par exemple pour consultation habituelle de sites djihadistes».
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