Motos : les radars antibruit expérimentés dans 8 villes de France
- il y a 3 ans
Le "radar méduse", le nouvel ennemi des deux-roues pour lutter contre la pollution sonore.
Après les radars détectant les excès de vitesse et le non-respect des feux rouges,
c’est désormais au tour de la
chasse aux nuisances sonores.
Le radar antibruit est équipé de cinq micros et d’une caméra à 360 degrés permettant d’identifier les plaques d’immatriculation.
Le radar antibruit est équipé de cinq micros et d’une caméra à 360 degrés permettant d’identifier les plaques d’immatriculation.
Il possède un capteur mesurant ainsi le niveau sonore en décibels et détecte la provenance du bruit.
Ce radar a été installé dans 8 villes volontaires dont Paris, Nice et Toulouse.
La première phase test est prévue de novembre 2021 à avril 2022.
La nouvelle loi sur les mobilités prévoit le test de ce dispositif pendant 2 ans avant homologation et verbalisations (qui ne devraient être effectives avant 2022).
Pour l’heure, le montant de ces dernières reste inconnu.
Des prototypes de la sorte avaient déjà été installés dans les Yvelines en 2019 avant d’être étendus sur le plan national.
Après les radars détectant les excès de vitesse et le non-respect des feux rouges,
c’est désormais au tour de la
chasse aux nuisances sonores.
Le radar antibruit est équipé de cinq micros et d’une caméra à 360 degrés permettant d’identifier les plaques d’immatriculation.
Le radar antibruit est équipé de cinq micros et d’une caméra à 360 degrés permettant d’identifier les plaques d’immatriculation.
Il possède un capteur mesurant ainsi le niveau sonore en décibels et détecte la provenance du bruit.
Ce radar a été installé dans 8 villes volontaires dont Paris, Nice et Toulouse.
La première phase test est prévue de novembre 2021 à avril 2022.
La nouvelle loi sur les mobilités prévoit le test de ce dispositif pendant 2 ans avant homologation et verbalisations (qui ne devraient être effectives avant 2022).
Pour l’heure, le montant de ces dernières reste inconnu.
Des prototypes de la sorte avaient déjà été installés dans les Yvelines en 2019 avant d’être étendus sur le plan national.