Nathan Devers : «Ce mythe du livre politique est quelque chose qui est fondamentalement déshonorant pour la littérature»

Nathan Devers : «Est-ce que le fait de dire qu’il faut mettre la CRS 8, ce n’est pas une forme d’emprise de la communication de la politique ?»

Nathan Devers : «On assiste à une partie de ping-pong généralisée entre la Préfecture, la mairie, le Ministère de l'Intérieur et un absent, qui est peut-être le principal concerné : le Ministère de la Santé», à propos du crack à Paris

Nathan Devers : «Je n’aime pas la vulgarité dans le langage politique. Sauf quand cette vulgarité est la seule option»

Nathan Devers : «Tout dans ce problème relève de la politique extérieure»

Nathan Devers : «C'est le signe d'une pauvreté de l'offre politique»

Nathan Devers : «La grande confusion c’est que le pass sanitaire n’est pas sanitaire. C’est une question politique»

Nathan Devers : «C’est le signe d’une ambiguïté et d’une complaisance vis-à-vis de la violence comme mode d’action politique»

Nathan Devers : «Une politique municipale qui a contribué à l'augmentation de l'insécurité à Nantes»

Nathan Devers : «Autant la politique d'Emmanuel Macron est très critiquable, autant sa stratégie est excellente»

Nathan Devers : «L’utilisation des réseaux sociaux par les hommes politiques français fédèrent des groupes mais ne va pas convaincre pour gagner des voix»

Nathan Devers : «Comment se fait-il que la contestation politique calme, sereine et républicaine soit devenue de plus en plus difficile ?»

Nathan Devers : «On n'expose pas, sur la scène publique, l'état de santé d'un homme quand il est délabré, surtout sur le plan intellectuel»

Nathan Devers : «On assiste à une dévaluation du politique»

Nathan Devers : «L'immigration n'est pas un problème de politique intérieure»

Nathan Devers : «Pap Ndiaye n'a pas montré de fibre politique»

Nathan Devers : «Gabriel Attal et Emmanuel Macron n'ont pas le même projet politique»

Nathan Devers : «Le monde médiatique, couvrant le Salon de l’agriculture, parle moins des agriculteurs que des politiques»

Nathan Devers, au sujet de la réforme des retraites : «Tout l’argumentaire autour de cette réforme c’est de la présenter comme une fatalité alors que c’est un choix politique très clair»

Nathan Devers : «Ce mouvement ne se concrétisera pas sur l'échiquier politique»

Alexandre Devecchio : «Je ne suis même pas sûr qu'il soit soutenu par Emmanuel Macron»

Erik Tegnér : «On a une violence chez les jeunes qui incarne la lâcheté»

Pierre Lellouche : «Ils ne se rendent pas compte qu'ils sont dans une logique totalitaire ces gens-là»

Jean-Christophe Cambadélis : «Il y avait une volonté d'attirer la tension parce qu'on est en perte de vitesse»

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