Agnes Obel est une envoûteuse, de celles qui nous embarquent loin, très loin. Depuis le succès de Philarmonics, on attendait son deuxième album. Aventine sort cette semaine et nous ravit : piano, violoncelle, voix d’ailleurs, chansons infiniment personnelles, la chanteuse danoise nous réembarque pour son « île », comme elle aime qualifier son univers personnel. Agnes s’est confiée à nous. Découvrez notre entretien, entre puissance et murmures.