Le comédien parle longuement de Georges Pompidou et de Valéry Giscard d’Estaing, qu’il est allé, rappelle-t-il, soutenir à son dernier meeting, le 8 mai 1981, porte de Pantin, en sachant qu’il avait perdu face à un François Mitterrand qui, une fois à l’Élysée, le décorera, lui, « l’homme de droite », comme Delon se qualifie pour toujours.
La star du cinéma français, qui se fait rare depuis ses AVC, se confie à TV5 Monde, le 1er juillet. Incisif, c'est un Delon cash qui parle.