Violemment mis en cause pour son comportement vis à vis de certaines chroniqueuse sportive, Pierre Ménès s'explique dans TPMP : "Je ne ferais plus ça aujourd’hui parce que le monde à changé"
- il y a 3 ans
En août 2016, à la fin d'une émission du "Canal Football Club", Pierre Ménès aurait soulevé la jupe de Marie Portolano avant de lui attraper les fesses, "hors antenne mais face au public". L'autre affaire concerne sa consoeur Isabelle Moreau, embrassée de force sur la bouche par Pierre Ménès pour "fêter" la centième, en 2011, du Canal Football Club, une scène visible sur les réseaux sociaux. Il affiche le même comportement avec Francesca Antoniotti, cette fois sur le plateau de Touche pas à mon sport sur C8.
Face à la polémique, Pierre Ménès a décidé de réagir sur le plateau de Touche pas à mon poste face à Cyril Hanouna.
Confronté aux images de l’interview et à la séquence avec Francesca Antoniotti, ce lundi soir, Pierre Ménès a concédé que son comportement de l’époque pouvait avoir été choquant, mais a insisté néanmoins sur le fait que c’était il y a dix ans: ”Avec Francesca, je ne ferais plus ça aujourd’hui. Parce que le monde à changé. C’est #MeToo, on peut plus rien faire, on peut plus rien dire. Mais ce que j’ai dit dans le doc et que je maintiens c’est que pour moi, une fille et un homme c’est pareil. Pour tout ce qu’il s’est passé là j’ai des profonds regrets”.
Concernant l'affaire de la juppe, Pierre Ménès a raconté qu’il ne se remémorait plus les faits car ils remontent au 28 août 2016: "C’était ma dernière émission avant que je tombe malade et que je disparaisse des écrans pendant sept mois. J’avais le masque de la mort sur moi. Tout ce qu’on me reproche, comme le baiser à Moreau, je ne referai plus ça aujourd’hui. Le monde a changé. On ne peut plus rien a faire. Mais ce que je maintiens, c’est qu’un mec et une fille c’est pareil. Ne pas chambrer c’est insupportable. Pour tout ce qui s’est passé là, j’ai de profonds regrets.
Que ça soit pour Francesca, Isabelle et Marie. Aujourd’hui, je comprends que ça fasse polémique. Mais à l’époque non. Il y a cinq ans ça serait passé crème. Ma vie professionnelle a été jalonnée de filles. Je n’ai jamais eu de problèmes avec personne. C’est pour ça que je regrette l’image que certaines personnes ont de moi.
Je le vis mal, car ce n’est pas moi. Je ne suis pas comme ça. Et les gens qui me connaissent le savent. Là, je commence petit a petit à recevoir des messages de soutien. Ce sont des trucs regrettables mais qui datent.".
Face à la polémique, Pierre Ménès a décidé de réagir sur le plateau de Touche pas à mon poste face à Cyril Hanouna.
Confronté aux images de l’interview et à la séquence avec Francesca Antoniotti, ce lundi soir, Pierre Ménès a concédé que son comportement de l’époque pouvait avoir été choquant, mais a insisté néanmoins sur le fait que c’était il y a dix ans: ”Avec Francesca, je ne ferais plus ça aujourd’hui. Parce que le monde à changé. C’est #MeToo, on peut plus rien faire, on peut plus rien dire. Mais ce que j’ai dit dans le doc et que je maintiens c’est que pour moi, une fille et un homme c’est pareil. Pour tout ce qu’il s’est passé là j’ai des profonds regrets”.
Concernant l'affaire de la juppe, Pierre Ménès a raconté qu’il ne se remémorait plus les faits car ils remontent au 28 août 2016: "C’était ma dernière émission avant que je tombe malade et que je disparaisse des écrans pendant sept mois. J’avais le masque de la mort sur moi. Tout ce qu’on me reproche, comme le baiser à Moreau, je ne referai plus ça aujourd’hui. Le monde a changé. On ne peut plus rien a faire. Mais ce que je maintiens, c’est qu’un mec et une fille c’est pareil. Ne pas chambrer c’est insupportable. Pour tout ce qui s’est passé là, j’ai de profonds regrets.
Que ça soit pour Francesca, Isabelle et Marie. Aujourd’hui, je comprends que ça fasse polémique. Mais à l’époque non. Il y a cinq ans ça serait passé crème. Ma vie professionnelle a été jalonnée de filles. Je n’ai jamais eu de problèmes avec personne. C’est pour ça que je regrette l’image que certaines personnes ont de moi.
Je le vis mal, car ce n’est pas moi. Je ne suis pas comme ça. Et les gens qui me connaissent le savent. Là, je commence petit a petit à recevoir des messages de soutien. Ce sont des trucs regrettables mais qui datent.".