Pr Karine Lacombe sur la possibilité d'un vaccin : "Il faut être raisonnable, on n'a jamais développé un vaccin entièrement nouveau en aussi peu de temps"

Pr. Karine Lacombe : "J'ose espérer que si des créneaux de vaccination sont ouverts c'est qu'on a des doses de vaccin de l'autre côté."

Karine Lacombe : "Dans 98% des cas, le vaccin AstraZeneca a des effets secondaires absolument mineurs. Le bénéfice de la vaccination est largement supérieur au risque couru."

Karine Lacombe : "Il faut finir sur une note d'espoir : c'est le dernier confinement, on a les vaccins, on va mieux tester."

Karine Lacombe : "Il faut généraliser la troisième dose de vaccin à tout le monde"

Karine Lacombe : "Il faut savoir que le vaccin à ARN messager n'a pas d'adjuvant, et que l'ARN messager ne persiste pas dans le corps humain au bout de quelques heures. Il n'y aucun risque d'effet secondaire tardif."

André Grimaldi est l'invité de Nicolas Demorand à 8h20

Eric Caumes et Karine Lacombe : "Il ne faut pas avoir à l’esprit qu’à partir du 11 mai, on reprendra notre vie d’avant"

Karine Lacombe : "Il y a des personnes doublement vaccinées en réanimation, qui ont un profil constant : des personnes âgées avec des comorbidités, ou des personnes immunodéprimées, qui n'ont pas monté de défenses immunitaires."

Pr Karine Lacombe : "Culturellement, en France, ça va être très compliqué, en primaire, de faire porter un masque aux enfants. Moi-même je suis assez partagée sur la question."

Pr. Karine Lacombe : "C'est un pari qui a été fait : on est au bord du précipice. Pour l'instant, on est en équilibre. Personne n'espère qu'on va tomber. On aurait pu profiter des vacances pour confiner très fort et couper la dynamique de l'épidémie."

Karine Lacombe : "Le confinement, c'est une mesure de santé publique, ce n'est pas une mesure individuelle."

Pr Karine Lacombe : "Je ne dirais pas qu'on est dans le grand relâchement, on a tous besoin de souffler"

Karine Lacombe : "L'histoire d'un virus moins transmissible ou moins grave est totalement construite"

Pr Karine Lacombe : "Il y a une deuxième vague, qui a commencé fin juillet, mais qui n'a aucun rapport avec ce que l'on a vu en mars-avril"

Pr Karine Lacombe : "L'histoire d'un virus qui serait moins transmissible ou moins grave est une histoire totalement construite, on n'en sait rien pour l'instant."

Pr Karine Lacombe : "Le gros de l'épidémie est derrière nous, mais on sait tous que l'épidémie a une queue, qui peut traîner pendant des semaines voire des mois"

Pr Karine Lacombe : "Les isolements dans les hôtels, ça a été un flop ; probablement que beaucoup de personnes ont préféré être isolées chez elles"

Karine Lacombe : "Je ne dirais pas que l'épidémie est hors de contrôle, mais il était franchement temps de freiner sa progression."

Karine Lacombe : "C'est un confinement moins strict que ce que l'on aurait pu penser, un bon compromis entre les contraintes sanitaires et les contraintes sociales et économiques, qui permet de garder une vie sociale relativement correcte."

#MeToo hôpital: "Beaucoup de femmes parlent" depuis le témoignage de Karine Lacombe, mais "il ne faut pas taire ce qui est aussi un #MeToo gay de l'hôpital", indique la journaliste Anne Jouan

"Dire que ça n'existe pas, c'est se voiler la face" Cette ancienne externe des Hôpitaux de Paris raconte le harcèlement sexuel qu'elle a subi

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