Jeudi 18 février, les États-Unis ont accepté l’invitation de l’Union européenne à participer à des pourparlers en présence de l’Iran. L’objectif : relancer l’accord de Vienne sur le nucléaire, signé en 2015. Mais au milieu du concert d'applaudissements qui a suivi l'annonce américaine, il est une voix dissonante, inquiète à la perspective de négociations directes entre les deux pays ennemis : Israël. « Israël reste engagé pour empêcher l'Iran de se doter d'armes nucléaires, et sa position sur l'accord sur le nucléaire n'a pas changé », a déclaré le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, dans un communiqué diffusé vendredi.