La désobéissance d'un restaurateur niçois
- il y a 3 ans
Un restaurant de Nice, dans les Alpes-Maritimes, a ouvert ce mercredi midi en signe de "résistance". La police est intervenue pour fermer l'établissement qui était plein à l'heure du déjeuner, sans succès.
Aux cris des clients attablés, les forces de l'ordre présentes sont restées impassibles. Le gérant du Poppies, situé en plein cœur de Nice, a décidé de braver l'interdit ce mercredi, en ouvrant sa brasserie fermée depuis le mois d'octobre. La situation devient intenable pour Christophe Wilson, le restaurateur. Il doit payer ses employés et faire vivre sa famille.
Avec cette ouverture interdite en pleine crise sanitaire, le gérant espérait lancer un appel à la désobéissance et inciter d'autres restaurateurs à le suivre. De nombreux clients s'étaient donnés rendez-vous.
La préfecture des Alpes-Maritimes a communiqué sur Twitter que les clients ayant pris part au déjeuner ont été, ou seraient, verbalisés. Quant à Christophe Wilson, il a été placé en garde à vue parce qu'il est suspecté d'avoir employé un étranger en situation irrégulière.
Aux cris des clients attablés, les forces de l'ordre présentes sont restées impassibles. Le gérant du Poppies, situé en plein cœur de Nice, a décidé de braver l'interdit ce mercredi, en ouvrant sa brasserie fermée depuis le mois d'octobre. La situation devient intenable pour Christophe Wilson, le restaurateur. Il doit payer ses employés et faire vivre sa famille.
Avec cette ouverture interdite en pleine crise sanitaire, le gérant espérait lancer un appel à la désobéissance et inciter d'autres restaurateurs à le suivre. De nombreux clients s'étaient donnés rendez-vous.
La préfecture des Alpes-Maritimes a communiqué sur Twitter que les clients ayant pris part au déjeuner ont été, ou seraient, verbalisés. Quant à Christophe Wilson, il a été placé en garde à vue parce qu'il est suspecté d'avoir employé un étranger en situation irrégulière.